Autres articles
-
L'imam d'al-Aqsa dénonce l'apathie des Arabes face aux crimes israéliens contre les palestiniens
-
Appel d'un franc maçon #gilets jaunes (3 vidéos)
-
Quelque chose de vraiment grave est en préparation contre les Palestiniens à Gaza
-
I HAD A DREAM / Ch. Cros Houplon / Mister com tribute TRUST
-
Les proscrits et les aristocrates

La Secrétaire d'Etat Américaine, Hillary Clinton, a de nouveau menacé l'Iran, avertissant que Washington a gardé toutes les options sur la table quand il s’agit de stopper le programme nucléaire de Téhéran.
« Nous avons toujours dit que toutes les options sont sur la table. Notre but est d'empêcher ou de dissuader l'Iran d'obtenir les armes nucléaires, » a déclaré Clinton en Allemagne, dans une interview Lundi dans l’émission de Charlie Rose sur PBS.
L'ancienne première dame a ajouté que les USA ne peuvent pas accepter une course aux armements dans le Moyen-Orient, dont le déclencheur, a-t-elle clamé, est la volonté de l'Iran d’obtenir des armes nucléaires.
« Ce n'est pas dans l'intérêt de l'Iran d'avoir une course aux armements nucléaire dans le Golfe (de Persan), où ils seraient moins en sécurité qu'ils ne le sont aujourd'hui. Ce n'est pas dans l'intérêt de l'Iran, ni dans l'intérêt du peuple Iranien, d'être soumis à des sanctions très onéreuses. »
Clinton a ajouté que le Président Américain, Barack Obama, cherche toujours « une relation civilisée et diplomatique » avec Téhéran, mais a averti que Washington peut recourir à d'autres options en rapport avec le cas nucléaire Iranien, dans le but de mieux protéger ses « intérêts ».
L'Iran a rejeté l'allégation que ses activités nucléaires suivent un agenda militaire et défend son programme nucléaire, comme étant seulement à des buts pacifiques et dans le cadre du Traité de Non Prolifération nucléaire (TNP), dont il est signataire.
Les remarques de Clinton viennent alors que les USA mettent de plus en plus de pression sur l'Iran pour qu’ils acceptent le traité nucléaire de l’AIEA, qui veut que l'Iran envoie son uranium enrichi en Russie et de Russie vers la France pour l’enrichir davantage. L'accord consiste à fournir à l'Iran de l’uranium enrichi à 20% pour le réacteur de recherches scientifiques de Téhéran, qui produit des radio-isotopes à des buts médicaux.
Le Ministre des Affaires Etrangères Iranien, Manouchehr Mottaki, a émis les réserves « économiques et techniques » de son pays, concernant la proposition.
Téhéran n'est pas d'accord d’envoyer en une seule fois d’aussi grande quantité de son uranium à l'étranger. La République Islamique indique qu'elle a des inquiétudes concernant le retour du fuel nucléaire dans le pays, étant donné que les fournisseurs potentiels, y compris la France et la Russie, ont déjà par le passé violé leurs accords avec l'Iran.
Des sources, proches de l'équipe de négociateurs pour le nucléaire Iranien, ont déclaré que Téhéran veut un échange simultané en 2 étapes de l'uranium avec les fournisseurs potentiels.
Téhéran en a besoin d’environ 120 kilos d'uranium enrichis à 20% pour alimenter son réacteur de recherches scientifiques à Téhéran. Dans la première étape, l'Iran veut échanger 400 kilos d'uranium faiblement enrichi contre environ 60 kilos d'uranium enrichi à 20%. Après un moment, ils seraient alors prêts à effectuer un deuxième échange identique.
Les USA ont indiqué qu'aucun changement ne sera apporté à l'accord, insistant sur le fait que l'Iran devrait accepter l'accord dans l’état.
Traduction Alter Info
http://www.presstv.com/detail.aspx?id=110888&ionid=351020104
« Nous avons toujours dit que toutes les options sont sur la table. Notre but est d'empêcher ou de dissuader l'Iran d'obtenir les armes nucléaires, » a déclaré Clinton en Allemagne, dans une interview Lundi dans l’émission de Charlie Rose sur PBS.
L'ancienne première dame a ajouté que les USA ne peuvent pas accepter une course aux armements dans le Moyen-Orient, dont le déclencheur, a-t-elle clamé, est la volonté de l'Iran d’obtenir des armes nucléaires.
« Ce n'est pas dans l'intérêt de l'Iran d'avoir une course aux armements nucléaire dans le Golfe (de Persan), où ils seraient moins en sécurité qu'ils ne le sont aujourd'hui. Ce n'est pas dans l'intérêt de l'Iran, ni dans l'intérêt du peuple Iranien, d'être soumis à des sanctions très onéreuses. »
Clinton a ajouté que le Président Américain, Barack Obama, cherche toujours « une relation civilisée et diplomatique » avec Téhéran, mais a averti que Washington peut recourir à d'autres options en rapport avec le cas nucléaire Iranien, dans le but de mieux protéger ses « intérêts ».
L'Iran a rejeté l'allégation que ses activités nucléaires suivent un agenda militaire et défend son programme nucléaire, comme étant seulement à des buts pacifiques et dans le cadre du Traité de Non Prolifération nucléaire (TNP), dont il est signataire.
Les remarques de Clinton viennent alors que les USA mettent de plus en plus de pression sur l'Iran pour qu’ils acceptent le traité nucléaire de l’AIEA, qui veut que l'Iran envoie son uranium enrichi en Russie et de Russie vers la France pour l’enrichir davantage. L'accord consiste à fournir à l'Iran de l’uranium enrichi à 20% pour le réacteur de recherches scientifiques de Téhéran, qui produit des radio-isotopes à des buts médicaux.
Le Ministre des Affaires Etrangères Iranien, Manouchehr Mottaki, a émis les réserves « économiques et techniques » de son pays, concernant la proposition.
Téhéran n'est pas d'accord d’envoyer en une seule fois d’aussi grande quantité de son uranium à l'étranger. La République Islamique indique qu'elle a des inquiétudes concernant le retour du fuel nucléaire dans le pays, étant donné que les fournisseurs potentiels, y compris la France et la Russie, ont déjà par le passé violé leurs accords avec l'Iran.
Des sources, proches de l'équipe de négociateurs pour le nucléaire Iranien, ont déclaré que Téhéran veut un échange simultané en 2 étapes de l'uranium avec les fournisseurs potentiels.
Téhéran en a besoin d’environ 120 kilos d'uranium enrichis à 20% pour alimenter son réacteur de recherches scientifiques à Téhéran. Dans la première étape, l'Iran veut échanger 400 kilos d'uranium faiblement enrichi contre environ 60 kilos d'uranium enrichi à 20%. Après un moment, ils seraient alors prêts à effectuer un deuxième échange identique.
Les USA ont indiqué qu'aucun changement ne sera apporté à l'accord, insistant sur le fait que l'Iran devrait accepter l'accord dans l’état.
Traduction Alter Info
http://www.presstv.com/detail.aspx?id=110888&ionid=351020104