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Le premier ministre russe Vladimir Poutine n'a pas exclu mardi devant les journalistes à Copenhague que l'actuelle situation en Libye soit liée à l'intérêt suscité à l'étranger par ses réserves de pétrole et de gaz.
"A signaler que pour les réserves de brut en Afrique, la Libye arrive en première position et en quatrième pour le gaz. Une question se pose: n'est-ce pas là l'intérêt essentiel de ceux qui y opèrent à présent?", a déclaré M.Poutine à l'issue des négociations avec son homologue danois Lars Loekke Rasmussen.
La Libye a demandé à la Russie de convoquer une réunion urgente du Conseil de sécurité de l'Onu pour discuter de la "tentative de prendre pour cible" le colonel Mouammar Kadhafi et du bombardement de "sites civils" en Libye.
Un appel auquel la Russie a partiellement répondu dans la journée par la voix de Vladimir Poutine.
"Ils disaient qu'ils ne voulaient pas tuer Kadhafi. Maintenant certains responsables disent oui, nous cherchons à tuer Kadhafi. Qui a autorisé cela, y a-t-il eu un quelconque procès ? Qui s'est arrogé le droit de tuer cet homme ?, s'est emporté le premier ministre russe lors d'une visite au Danemark.
L'Otan a nié avoir voulu tuer Kadhafi lors d'une conférence de presse, doutant de sa présence dans les bâtiments au moment de l'attaque.
Les bombardements menés sous l'égide de l'Otan sont "contraires aux résolutions du Conseil (de sécurité de l'Onu 1970 et 1973) et violent les lois et conventions internationales", a-t-on ajouté de même source.
Moscou a multiplié ces dernières semaines les critiques à l'égard de la coalition internationale, jugeant que son intervention outrepassait le mandat de l'ONU.
La Russie, qui dispose d'un droit de veto au Conseil de sécurité, s'était abstenue le 17 mars lors du vote de la résolution 1973, permettant ainsi son adoption, l'intervention d'une coalition internationale contre le régime du colonel Kadhafi et le déclenchement de frappes aériennes.
"A signaler que pour les réserves de brut en Afrique, la Libye arrive en première position et en quatrième pour le gaz. Une question se pose: n'est-ce pas là l'intérêt essentiel de ceux qui y opèrent à présent?", a déclaré M.Poutine à l'issue des négociations avec son homologue danois Lars Loekke Rasmussen.
La Libye a demandé à la Russie de convoquer une réunion urgente du Conseil de sécurité de l'Onu pour discuter de la "tentative de prendre pour cible" le colonel Mouammar Kadhafi et du bombardement de "sites civils" en Libye.
Un appel auquel la Russie a partiellement répondu dans la journée par la voix de Vladimir Poutine.
"Ils disaient qu'ils ne voulaient pas tuer Kadhafi. Maintenant certains responsables disent oui, nous cherchons à tuer Kadhafi. Qui a autorisé cela, y a-t-il eu un quelconque procès ? Qui s'est arrogé le droit de tuer cet homme ?, s'est emporté le premier ministre russe lors d'une visite au Danemark.
L'Otan a nié avoir voulu tuer Kadhafi lors d'une conférence de presse, doutant de sa présence dans les bâtiments au moment de l'attaque.
Les bombardements menés sous l'égide de l'Otan sont "contraires aux résolutions du Conseil (de sécurité de l'Onu 1970 et 1973) et violent les lois et conventions internationales", a-t-on ajouté de même source.
Moscou a multiplié ces dernières semaines les critiques à l'égard de la coalition internationale, jugeant que son intervention outrepassait le mandat de l'ONU.
La Russie, qui dispose d'un droit de veto au Conseil de sécurité, s'était abstenue le 17 mars lors du vote de la résolution 1973, permettant ainsi son adoption, l'intervention d'une coalition internationale contre le régime du colonel Kadhafi et le déclenchement de frappes aériennes.