
Pourquoi l'avion de la compagnie Ethiopian Airlines s'était-il écrasé? Qui en est le responsable? Ces deux questions clés restent toujours sans réponse, après dix-sept jours au drame du vol 409. Cependant, plusieurs récits et versions officiels et non officiels sont présentés au public par les agences de presse internationales. Certains d'entre sont liés à des facteurs commerciaux, à savoir aux indemnisations prévues pour les familles des victimes.
Première version: le capitaine de l'avion n'a pas suivi les instructions du tour de contrôle, et s'est dirigé vers la zone orageuse, ce qui a provoqué le crash, à 3 km de la côte en face de Naameh, et à une profondeur de 40 à 45 m.
Cette version a été publiée par l'agence de presse REUTER rapportant une source à la commission d'enquête qui vient d'effectuer une analyse préliminaire du contenu de la boîte noire en France, et selon laquelle le crash est dû à une erreur humaine commise par le capitaine de l'avion.
En cas d'adoption de cette version, la compagnie aérienne éthiopienne doit indemniser les familles des victimes, et la compagnie Boeing sera quitte de toute charge.
La deuxième version défend l'hypothèse de l'explosion due soit à des problèmes techniques dans le Boeing ou à une attaque. La compagnie éthiopienne avait annoncé qu'elle n'écartait aucune hypothèse, même celle d'un attentat. Cette annonce exempte ladite compagnie de tout procès ou indemnisations.
Sur ce point, le ministre libanais de la santé Mohammad Jawad Khalifeh avait précisé que "certaines dépouilles ont été déchiquetées avant d'atteindre le sol selon les analyses et les images, parce qu'aucun corps ne s'est désintégré".
Troisième version: Se basant sur des calculs mathématiques purs et sur la consultation des corps des victimes, l'avion qui volait à une hauteur de 9000 pieds, avait surement explosé et s'était transformé en pièces lorsqu'il a touché la surface de la mer.
D'autres versions sur le crash sont avancées, mais la véritable raison se trouve dans les deux boîtes noires. La première a été expédiée en France pour analyser ses données, alors la deuxième a été repêchée récemment sans sa partie essentielle qui contient les enregistrements sonores.
Première version: le capitaine de l'avion n'a pas suivi les instructions du tour de contrôle, et s'est dirigé vers la zone orageuse, ce qui a provoqué le crash, à 3 km de la côte en face de Naameh, et à une profondeur de 40 à 45 m.
Cette version a été publiée par l'agence de presse REUTER rapportant une source à la commission d'enquête qui vient d'effectuer une analyse préliminaire du contenu de la boîte noire en France, et selon laquelle le crash est dû à une erreur humaine commise par le capitaine de l'avion.
En cas d'adoption de cette version, la compagnie aérienne éthiopienne doit indemniser les familles des victimes, et la compagnie Boeing sera quitte de toute charge.
La deuxième version défend l'hypothèse de l'explosion due soit à des problèmes techniques dans le Boeing ou à une attaque. La compagnie éthiopienne avait annoncé qu'elle n'écartait aucune hypothèse, même celle d'un attentat. Cette annonce exempte ladite compagnie de tout procès ou indemnisations.
Sur ce point, le ministre libanais de la santé Mohammad Jawad Khalifeh avait précisé que "certaines dépouilles ont été déchiquetées avant d'atteindre le sol selon les analyses et les images, parce qu'aucun corps ne s'est désintégré".
Troisième version: Se basant sur des calculs mathématiques purs et sur la consultation des corps des victimes, l'avion qui volait à une hauteur de 9000 pieds, avait surement explosé et s'était transformé en pièces lorsqu'il a touché la surface de la mer.
D'autres versions sur le crash sont avancées, mais la véritable raison se trouve dans les deux boîtes noires. La première a été expédiée en France pour analyser ses données, alors la deuxième a été repêchée récemment sans sa partie essentielle qui contient les enregistrements sonores.