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Outre la cérémonie d'adieu à Michael Jackson, les journaux américains ont fait la part belle ce mercredi à la première rencontre entre le président Barack Obama et le premier ministre Vladimir Poutine en Russie. "Huit ans après que le président Bush a +regardé dans les yeux de M. Poutine et vu son âme+, son successeur s'est fait sa propre opinion et a défini (le premier ministre russe) comme un défenseur fort, pratique et peu enclin aux sentiments de son pays", écrit le Washington Times.
"L'ancien agent du KGB et le militant de Chicago ont eu un petit-déjeuner à base de bélouga fumé, de caviar noir et de blinis sur la terrasse de la résidence de Poutine, qui n'a pas dévoilé les détails de l'entretien", poursuit le journal.
"Un équilibre devait être trouvé, notamment grâce à la rencontre avec les leaders de l'opposition, les représentants du business et de la société civile de la Russie nés en huit ans de présidence de Poutine", indique le Washington Times.
Même si le numéro un américain a reconnu M. Medvedev comme "son homologue de plein droit", le journal estime que l'influence de M. Poutine reste importante en Russie, et que les relations avec ce dernier pourraient être "les plus complexes de la présidence de M. Obama".
Le ton avait été donné avec un échange de piques entre les deux hommes à la veille de la visite du président américain en Russie: M. Obama avait déclaré que Poutine avait un pied "dans les vieilles méthodes, et un pied dans les nouvelles", le premier ministre a rétorqué "ne pas savoir faire le grand écart".
"L'ancien agent du KGB et le militant de Chicago ont eu un petit-déjeuner à base de bélouga fumé, de caviar noir et de blinis sur la terrasse de la résidence de Poutine, qui n'a pas dévoilé les détails de l'entretien", poursuit le journal.
"Un équilibre devait être trouvé, notamment grâce à la rencontre avec les leaders de l'opposition, les représentants du business et de la société civile de la Russie nés en huit ans de présidence de Poutine", indique le Washington Times.
Même si le numéro un américain a reconnu M. Medvedev comme "son homologue de plein droit", le journal estime que l'influence de M. Poutine reste importante en Russie, et que les relations avec ce dernier pourraient être "les plus complexes de la présidence de M. Obama".
Le ton avait été donné avec un échange de piques entre les deux hommes à la veille de la visite du président américain en Russie: M. Obama avait déclaré que Poutine avait un pied "dans les vieilles méthodes, et un pied dans les nouvelles", le premier ministre a rétorqué "ne pas savoir faire le grand écart".