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Les Gardiens de la révolution, corps d'élite du régime iranien, ont adressé une mise en garde aux "dirigeants des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et du régime sioniste en dénonçant leurs positions (...) et leur demandant d'éviter de s'ingérer dans les affaires intérieures iraniennes".
Ils n’ont pas hésité à prévenir qu'ils affronteraient les "émeutiers" qui manifestent dans Téhéran avec des "méthodes révolutionnaires".
"Les Gardiens de la révolution, et les autres forces de l'ordre et de sécurité sont prêts à mener une action décisive et révolutionnaire pour (...) mettre un terme au complot et aux émeutes", selon un communiqué cité par l'agence Mehr.
La mise en garde s'adresse aux "principaux responsables et aux éléments qui ont été trompés" responsables des troubles, c'est-à-dire aux hommes politiques comme aux manifestants.
Le corps des Gardiens de la révolution compte environ 125.000 hommes, selon les chiffres du Military balance de l'institut britannique Jane's. Il disposerait d'une unité d'intervention à l'extérieur, la force Quds, dont il n'a jamais confirmé l'existence.
Il a été créé peu après la révolution de 1979 par le fondateur de la République islamique, l'ayatollah Rouhollah Khomeiny, qui doutait de la fidélité de l'armée au nouveau régime.
Par ailleurs, des associations d'étudiants iraniens ont annoncé une manifestation mardi devant l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran pour protester contre l'"ingérence" de Londres dans les affaires intérieures iraniennes, selon l'agence Fars.
La manifestation est destinée à protester contre "le gouvernement pervers
de Grande-Bretagne pour son ingérence dans les affaires intérieures de l'Iran, son rôle dans les troubles à Téhéran et son soutien aux émeutes", a ajouté l'agence.
De son côté, un responsable du parlement iranien a jugé qu'il existait assez d'éléments pour traîner en justice Mirhossein Moussavi, le candidat à l'élection présidentielle du 12 juin, a rapporté Reuters.
"Les appels de Moussavi à organiser des manifestations illégales et ses provocations sont à l'origine de récents troubles en Iran (...) Il faut faire preuve de fermeté face à tels agissements criminels", a ainsi déclaré Ali Shahrokhi, président de la commission de la justice au Majlis.
Ils n’ont pas hésité à prévenir qu'ils affronteraient les "émeutiers" qui manifestent dans Téhéran avec des "méthodes révolutionnaires".
"Les Gardiens de la révolution, et les autres forces de l'ordre et de sécurité sont prêts à mener une action décisive et révolutionnaire pour (...) mettre un terme au complot et aux émeutes", selon un communiqué cité par l'agence Mehr.
La mise en garde s'adresse aux "principaux responsables et aux éléments qui ont été trompés" responsables des troubles, c'est-à-dire aux hommes politiques comme aux manifestants.
Le corps des Gardiens de la révolution compte environ 125.000 hommes, selon les chiffres du Military balance de l'institut britannique Jane's. Il disposerait d'une unité d'intervention à l'extérieur, la force Quds, dont il n'a jamais confirmé l'existence.
Il a été créé peu après la révolution de 1979 par le fondateur de la République islamique, l'ayatollah Rouhollah Khomeiny, qui doutait de la fidélité de l'armée au nouveau régime.
Par ailleurs, des associations d'étudiants iraniens ont annoncé une manifestation mardi devant l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran pour protester contre l'"ingérence" de Londres dans les affaires intérieures iraniennes, selon l'agence Fars.
La manifestation est destinée à protester contre "le gouvernement pervers
de Grande-Bretagne pour son ingérence dans les affaires intérieures de l'Iran, son rôle dans les troubles à Téhéran et son soutien aux émeutes", a ajouté l'agence.
De son côté, un responsable du parlement iranien a jugé qu'il existait assez d'éléments pour traîner en justice Mirhossein Moussavi, le candidat à l'élection présidentielle du 12 juin, a rapporté Reuters.
"Les appels de Moussavi à organiser des manifestations illégales et ses provocations sont à l'origine de récents troubles en Iran (...) Il faut faire preuve de fermeté face à tels agissements criminels", a ainsi déclaré Ali Shahrokhi, président de la commission de la justice au Majlis.