
On ne parle plus beaucoup de la Grèce, même plus du tout. C’ets la même chose pour Fukushima. Rien n’a pourtant changé là-bas, les choses ont même tendance à prendre une ampleur apocalyptique. (Cliquer pour lire la suite.) Il faut savoir que la Grèce vit des épisodes semblables à ceux que l’on a vécu durant la Grande Dépression des années trente. Selon le Guardian, les gens font la queue dans les banques pour obtenir de la trésorerie. Le fait que les médias occidentaux cherchent à cacher l’information et passent au « tri sélectif » sur ce genre de sujet signifie que nous devons nous attendre à un scénario similaire.
Pour l’heure, on met seulement en avant le fait que les Etats-Unis entrent dans une nouvelle récession. On officialise quelque chose qui se vit au quotidien par la plupart des Américains. On prépare les Occidentaux à un scénario logique. Vous allez souffrir, bien plus que vous ne l’imaginez ! La raison est que les Etats-Unis, « la première économie mondiale », est en train de plonger. En réalité, et d’aucun l’ont compris sur ce blog, la vérité est ailleurs. Depuis des années, les statistiques américaines sont manipulées et cela pouvait durer encore longtemps. La question autour de la dette est le moyen de faire plonger les Etats et d’aspirer les richesses de la classe moyenne et de ruiner le plus grand nombre. Ils veulent revenir à un modèles communiste. C’est bien la raison pour laquelle Wall Street a financé les oeuvres de Karl Marx et a financé l’entreprise de Lénine (formé comme il se doit avant d’être lâché dans la nature).
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rader Noé avait vu la hausse du titre Hermès en pleine débâcle boursière. Cette hausse du cours d’Hermès ne signifiait en rien que les gens anticipaient une reprise, mais que des personnes riches voulaient échanger leurs euros contre quelques chose. C’est le même phénomène pour l’art. D’un côté, il existe une décollecte massive dans les institutions de fonds de placement, d’investissement (plusieurs dizaines de millions d’euros PAR JOUR), de l’autre, les riches épargnants ne veulent pas garder en mains des billets dont on sent qu’ils perdent de leur valeur au fil des semaines.
Tout coûte de plus en plus cher, entendons-nous ici ou là. Non, c’est le papier monnaie qui perd sa valeur avec célérité.
Nicolas Sarkozy s’est entretenu avec le président de la BCE Jean-Claude Trichet de la situation dans la zone euro et doit prochainement téléphoner à la chancelière allemande Angela Merkel ainsi qu’au chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero. Officiellement, N. Sarkozy et le « président » Trichet doivent évoquer la « situation boursière ».
Hier, l’intervention du grand pontife de la BCE n’a pas réussi à apaiser les craintes d’une extension de la crise de la dette en zone euro. Ce sont l’Italie et l’Espagne qui sont de nouveau sous la pression des marchés, et leurs gouvernements se sont mobilisés pour endiguer la panique. Mais on a bien compris que tout cela n’était que du mauvais cinéma. Matraquer les populations sans empêcher les banques de spéculer sur la mort des Etats ne sert à rien. Comment alors ne pas conclure à complicité de fait entre les acteurs de ce mauvais film et les spéculateurs sans foi ni loi qui, n’oublions pas, rêvaient de cette « bonne crise majeure » (David Rockefeller, 1994)
Relire cet article. Les krachs financiers répondent à une logique oligarchique et… mondialiste
Pour l’heure, on met seulement en avant le fait que les Etats-Unis entrent dans une nouvelle récession. On officialise quelque chose qui se vit au quotidien par la plupart des Américains. On prépare les Occidentaux à un scénario logique. Vous allez souffrir, bien plus que vous ne l’imaginez ! La raison est que les Etats-Unis, « la première économie mondiale », est en train de plonger. En réalité, et d’aucun l’ont compris sur ce blog, la vérité est ailleurs. Depuis des années, les statistiques américaines sont manipulées et cela pouvait durer encore longtemps. La question autour de la dette est le moyen de faire plonger les Etats et d’aspirer les richesses de la classe moyenne et de ruiner le plus grand nombre. Ils veulent revenir à un modèles communiste. C’est bien la raison pour laquelle Wall Street a financé les oeuvres de Karl Marx et a financé l’entreprise de Lénine (formé comme il se doit avant d’être lâché dans la nature).
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Tout coûte de plus en plus cher, entendons-nous ici ou là. Non, c’est le papier monnaie qui perd sa valeur avec célérité.
Les autorités françaises se préparent à l’orage

Hier, l’intervention du grand pontife de la BCE n’a pas réussi à apaiser les craintes d’une extension de la crise de la dette en zone euro. Ce sont l’Italie et l’Espagne qui sont de nouveau sous la pression des marchés, et leurs gouvernements se sont mobilisés pour endiguer la panique. Mais on a bien compris que tout cela n’était que du mauvais cinéma. Matraquer les populations sans empêcher les banques de spéculer sur la mort des Etats ne sert à rien. Comment alors ne pas conclure à complicité de fait entre les acteurs de ce mauvais film et les spéculateurs sans foi ni loi qui, n’oublions pas, rêvaient de cette « bonne crise majeure » (David Rockefeller, 1994)
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