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Dans un discours, jeudi, devant le forum des "Propagateurs de Muharram", à l'école théologique de Qom, Mahmoud Ahmadinejad a surtout fait allusion à la perpétuité de la croissance économique de la RII, avant d'ajouter que l'économie iranienne se rangeait en 2007 parmi les 17 économies les plus puissantes du monde: "et ce alors que les ennemis de la nation iranienne cherchaient à empêcher le progrès et la croissance économique du pays", a-t-il ajouté.
"De 2004 à 2007, le taux de croissance économique en Iran se chiffrait, respectivement, à 5,4%, 6,4%, 7,2% et à 7,6%", toujours selon M. Ahmadinejad. Comme l'a bien remarqué le Président iranien, les puissances arrogantes ont essayé sans succès ces 30 dernières années, d'empêcher le peuple iranien de s'avancer dans son chemin vers le progrès. Pour ce faire, elles ont appliqué les sanctions les plus sérieuses à l'encontre de la RII et lancé une guerre des nerfs en bonne et due forme contre la nation iranienne.
Ahmadinejad a fait allusion ensuite aux résolutions anti-iraniennes adoptées au Conseil de sécurité de l'ONU, "résolutions prétendument contraignantes pour tous les états et qui avaient été décidées pour bloquer l'artère économique du pays". Mahmoud Ahmadinejad a fait également rappeler cette réalité que "ces sanctions et menaces ont été transformées, aujourd'hui, en opportunités pour la nation iranienne", ce qui a complètement déjoué les calculs des architectures de la politique de sanction. Cette politique d'animosité remonte à il y'a 3 décennies, lorsque le gouvernement américain de l'époque a bloqué les biens et les comptes en devises de la RII, aux Etats-Unis.
Depuis 1979, les Etats-Unis ont imposé différentes formes de sanctions à l'Iran. En août 2001, beaucoup de compagnies pétrolières américaines ont demandé la levée du boycott. Aujourd'hui, aussi, nombreux sont les experts d'après lesquels les entreprises américaines ont subi des préjudices de ces sanctions beaucoup plus même que l'économie iranienne à laquelle elles étaient en principe destinées. De toutes ses sanctions et pressions, le peuple iranien est sorti plus sûr et plus confiant en ses propres capacités.
Sous pressions et sanctions, les jeunes experts et scientifiques iraniens ont réussi les plus grands exploits dans le domaine des sciences et des technologies les plus sophistiquées du jour dont les Occidentaux avaient l'habitude de se réserver le monopole absolu.
L'Occident et surtout les Etats-Unis qui insistent sur le durcissement du ton contre l'Iran doivent enfin admettre que la situation économique iranienne est bonne et que les sanctions se sont avérées inefficaces, écrivait le quotidien Daily Telegraph, dans son numéro du 29 août 2008. Grâce à sa perspicacité, l'Iran bénéficie aujourd'hui d'un bouclier invulnérable face aux sanctions internationales, cela lui donne un sentiment de sécurité que l'Occident ne pourrait comprendre, ajoutait le quotidien.
"De 2004 à 2007, le taux de croissance économique en Iran se chiffrait, respectivement, à 5,4%, 6,4%, 7,2% et à 7,6%", toujours selon M. Ahmadinejad. Comme l'a bien remarqué le Président iranien, les puissances arrogantes ont essayé sans succès ces 30 dernières années, d'empêcher le peuple iranien de s'avancer dans son chemin vers le progrès. Pour ce faire, elles ont appliqué les sanctions les plus sérieuses à l'encontre de la RII et lancé une guerre des nerfs en bonne et due forme contre la nation iranienne.
Ahmadinejad a fait allusion ensuite aux résolutions anti-iraniennes adoptées au Conseil de sécurité de l'ONU, "résolutions prétendument contraignantes pour tous les états et qui avaient été décidées pour bloquer l'artère économique du pays". Mahmoud Ahmadinejad a fait également rappeler cette réalité que "ces sanctions et menaces ont été transformées, aujourd'hui, en opportunités pour la nation iranienne", ce qui a complètement déjoué les calculs des architectures de la politique de sanction. Cette politique d'animosité remonte à il y'a 3 décennies, lorsque le gouvernement américain de l'époque a bloqué les biens et les comptes en devises de la RII, aux Etats-Unis.
Depuis 1979, les Etats-Unis ont imposé différentes formes de sanctions à l'Iran. En août 2001, beaucoup de compagnies pétrolières américaines ont demandé la levée du boycott. Aujourd'hui, aussi, nombreux sont les experts d'après lesquels les entreprises américaines ont subi des préjudices de ces sanctions beaucoup plus même que l'économie iranienne à laquelle elles étaient en principe destinées. De toutes ses sanctions et pressions, le peuple iranien est sorti plus sûr et plus confiant en ses propres capacités.
Sous pressions et sanctions, les jeunes experts et scientifiques iraniens ont réussi les plus grands exploits dans le domaine des sciences et des technologies les plus sophistiquées du jour dont les Occidentaux avaient l'habitude de se réserver le monopole absolu.
L'Occident et surtout les Etats-Unis qui insistent sur le durcissement du ton contre l'Iran doivent enfin admettre que la situation économique iranienne est bonne et que les sanctions se sont avérées inefficaces, écrivait le quotidien Daily Telegraph, dans son numéro du 29 août 2008. Grâce à sa perspicacité, l'Iran bénéficie aujourd'hui d'un bouclier invulnérable face aux sanctions internationales, cela lui donne un sentiment de sécurité que l'Occident ne pourrait comprendre, ajoutait le quotidien.