Autres articles
-
L'imam d'al-Aqsa dénonce l'apathie des Arabes face aux crimes israéliens contre les palestiniens
-
Appel d'un franc maçon #gilets jaunes (3 vidéos)
-
Quelque chose de vraiment grave est en préparation contre les Palestiniens à Gaza
-
I HAD A DREAM / Ch. Cros Houplon / Mister com tribute TRUST
-
Les proscrits et les aristocrates

Le Chef du gouvernement du régime israélien, Benyamin Netanyahu, a déclaré, ce mardi, lors d'une conférence de presse avec le Premier ministre britannique, Gordon Brown, que le temps accordé à une issue diplomatique, pour stopper le programme nucléaire iranien, touchait à sa fin. Netanyahu a, aussi, déclaré que l'élection présidentielle du 12 juin, en Iran, et les événements qui l'ont suivie, avaient montré que le pays était vulnérable face aux pressions, appelant la Communauté internationale à durcir les sanctions contre l'Iran.
Gordon Brown a indiqué, pour sa part, que la Grande Bretagne partageait les inquiétudes d'Israël, face à ce qu'il a appelé les ambitions nucléaires de l'Iran, ajoutant que la Communauté internationale avait des doutes sur les activités nucléaires iraniennes et qu'il fallait prendre en compte toutes les options à cet égard.
Les menaces proférées, conjointement, par les responsables, britannique et israélien, contre l'Iran, interviennent, alors qu'il y a quelques mois, le nouveau Chef de la Communauté du renseignement américain, Dennis Blair, a parlé, devant le sénat des Etats-Unis, d'une éventuelle confrontation ou crise provoquée par Israël contre Téhéran, en 2009.
Toutefois, les analystes estiment que le ton menaçant du régime israélien, déjà, en proie à un chambardement interne, à l'égard de l'Iran, varie en constance; d'autant plus que, selon les observateurs, le régime d'Israël ne commettra aucune bêtise contre l'Iran, sachant, pertinemment, qu'il devrait, dans ce cas, s'attendre à une riposte ferme, de la part de Téhéran, et qu'une telle insolence serait lourde de conséquence pour ce régime.
Ceci dit, il faut ajouter que la politique de la menace qui va ouvertement à l'encontre du Droit international et du principe même de la Charte de l'ONU, est le fruit du laxisme des Nations unies. Le Conseil de sécurité n'a même pas adopté la moindre résolution contre les déclarations menaçantes des responsables israéliens. Or, ce même conseil a adopté 3 résolutions injustes et violatrices des traités internationaux, pour imposer des sanctions illégales contre le programme nucléaire civil iranien.
En fait, la politique dualiste de l'Occident, en matière nucléaire, viole les termes du TNP et inquiète de plus en plus la Communauté internationale, et, en particulier, les pays de la région, à tel point que, l'an dernier, lors de la Conférence de Manama sur la sécurité, le Secrétaire général du CCGP, Abdel Rahman al-Atiyah, a déclaré que fermer les yeux sur les menaces d'Israël, dans la région, était l'expression d'une politique bornée basée sur l'hypocrisie.
En dépit de cet avertissement, le secrétaire américain à la Défense a prétendu, il y a quelques temps, que le programme nucléaire israélien n'était pas une menace pour la région.
Gordon Brown a indiqué, pour sa part, que la Grande Bretagne partageait les inquiétudes d'Israël, face à ce qu'il a appelé les ambitions nucléaires de l'Iran, ajoutant que la Communauté internationale avait des doutes sur les activités nucléaires iraniennes et qu'il fallait prendre en compte toutes les options à cet égard.
Les menaces proférées, conjointement, par les responsables, britannique et israélien, contre l'Iran, interviennent, alors qu'il y a quelques mois, le nouveau Chef de la Communauté du renseignement américain, Dennis Blair, a parlé, devant le sénat des Etats-Unis, d'une éventuelle confrontation ou crise provoquée par Israël contre Téhéran, en 2009.
Toutefois, les analystes estiment que le ton menaçant du régime israélien, déjà, en proie à un chambardement interne, à l'égard de l'Iran, varie en constance; d'autant plus que, selon les observateurs, le régime d'Israël ne commettra aucune bêtise contre l'Iran, sachant, pertinemment, qu'il devrait, dans ce cas, s'attendre à une riposte ferme, de la part de Téhéran, et qu'une telle insolence serait lourde de conséquence pour ce régime.
Ceci dit, il faut ajouter que la politique de la menace qui va ouvertement à l'encontre du Droit international et du principe même de la Charte de l'ONU, est le fruit du laxisme des Nations unies. Le Conseil de sécurité n'a même pas adopté la moindre résolution contre les déclarations menaçantes des responsables israéliens. Or, ce même conseil a adopté 3 résolutions injustes et violatrices des traités internationaux, pour imposer des sanctions illégales contre le programme nucléaire civil iranien.
En fait, la politique dualiste de l'Occident, en matière nucléaire, viole les termes du TNP et inquiète de plus en plus la Communauté internationale, et, en particulier, les pays de la région, à tel point que, l'an dernier, lors de la Conférence de Manama sur la sécurité, le Secrétaire général du CCGP, Abdel Rahman al-Atiyah, a déclaré que fermer les yeux sur les menaces d'Israël, dans la région, était l'expression d'une politique bornée basée sur l'hypocrisie.
En dépit de cet avertissement, le secrétaire américain à la Défense a prétendu, il y a quelques temps, que le programme nucléaire israélien n'était pas une menace pour la région.