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"Ces actes chaotiques viennent des ennemis de l'islam et de ceux qui les servent", a affirmé le grand mufti, connu pour sa proximité avec la monarchie saoudienne, cité par le quotidien Asharq al-Awsat.
"Inciter à la révolte (...) vise à frapper la nation (musulmane) dans son coeur et à la diviser", a-t-il ajouté, lors des prières du vendredi à Ryad.
Les soulèvements en Egypte et Tunisie "frappent" les économies des nations musulmanes "dans un complot visant à les transformer en pays arriérés", a encore affirmé le grand mufti.
Le roi Abdallah d'Arabie saoudite a téléphoné le 29 janvier au président égyptien Hosni Moubarak pour lui exprimer sa solidarité et dénoncer "les atteintes à la sécurité et la stabilité" en Egypte.
L'Egypte connaît depuis le 25 janvier un mouvement de contestation sans précédent contre le président Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans.
Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali a, lui, fui son pays le 14 janvier sous la pression de la rue et s'est réfugié en Arabie saoudite.
Ennaharonline
"Inciter à la révolte (...) vise à frapper la nation (musulmane) dans son coeur et à la diviser", a-t-il ajouté, lors des prières du vendredi à Ryad.
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