Au même moment, l’émissaire du leader libyen, Mouammar Kadhafi, Saad Mojber, s’entretenait avec les responsables iraniens. Lors de ses entretiens avec le ministre koweïtien et l’émissaire libyen, le Président Ahmadinejad, tout mettant l'accent sur la nécessité de rester vigilant, face aux complots des Etats-Unis, dans la région, a déclaré que la colère des Américains gonflait, de jour en jour, en raison de leurs échecs politiques, et qu'en fomentant des complots, ils cherchaient à diviser les Musulmans.
Le Président iranien a fait, également, allusion à la question irakienne, avant d’ajouter que la stabilité, la sécurité et le calme, ne pourraient être établis que par le soutien des pays de la région au gouvernement irakien. De l’avis des experts, ces navettes et consultations sont chose ordinaire, dans le cadre de la diplomatie iranienne, mais elles revêtent une importance toute particulière, dans la conjoncture extrêmement sensible actuelle. De l’avis des observateurs politiques, à présent, deux courants parallèles, sous la houlette des Etats-Unis, cherchent à créer un climat de méfiance et à semer la discorde, en mettant en danger la région. Le premier courant s'efforce de présenter dangereuses les activités nucléaires pacifiques de l’Iran, et par là même, de mener une guerre des nerfs, en soulevant des inquiétudes, à ce propos, à l’échelle régionale et internationale. Le second courant, qui s’active, parallèlement à la politique ambiguë de la Maison Blanche, pour créer des doutes au sujet de l’Iran, consiste à imputer aux facteurs extérieurs la crise irakienne et à accuser l’Iran d’y être partie prenante. Cette affaire s'est transformée en un sujet de débat et un défi sérieux pour les hommes d’Etat américains, au sein du Congrès.
Mais malgré cela, tout laisse penser que l’administration Bush, en adoptant une politique envisageant de multiples scénarios, poursuit de vastes objectifs, dont le plus important est de dominer la région, par la création des divergences religieuses et ethniques, ainsi qu'en instaurant un climat de méfiance dans les relations entre les pays de la région. Mais avec la révélation des véritables intentions de Washington, sa politique a perdu de son efficacité, à tel point que, même, certains Chefs d’Etat et de gouvernement qui considéraient la présence militaire américaine, dans la région, comme nécessaire à leur sécurité, en doutent, à présent, de plus en plus. Par conséquent, s’appuyer sur le potentiel et la confiance inter-régionale, tout en s'efforçant de s’éloigner des courants divisionnistes ethniques et religieux, par le renforcement de l’unité islamique, est la seule manière de sauver la région des complots des étrangers, et Téhéran peut être un maillon fort de cette unité.
Le Président iranien a fait, également, allusion à la question irakienne, avant d’ajouter que la stabilité, la sécurité et le calme, ne pourraient être établis que par le soutien des pays de la région au gouvernement irakien. De l’avis des experts, ces navettes et consultations sont chose ordinaire, dans le cadre de la diplomatie iranienne, mais elles revêtent une importance toute particulière, dans la conjoncture extrêmement sensible actuelle. De l’avis des observateurs politiques, à présent, deux courants parallèles, sous la houlette des Etats-Unis, cherchent à créer un climat de méfiance et à semer la discorde, en mettant en danger la région. Le premier courant s'efforce de présenter dangereuses les activités nucléaires pacifiques de l’Iran, et par là même, de mener une guerre des nerfs, en soulevant des inquiétudes, à ce propos, à l’échelle régionale et internationale. Le second courant, qui s’active, parallèlement à la politique ambiguë de la Maison Blanche, pour créer des doutes au sujet de l’Iran, consiste à imputer aux facteurs extérieurs la crise irakienne et à accuser l’Iran d’y être partie prenante. Cette affaire s'est transformée en un sujet de débat et un défi sérieux pour les hommes d’Etat américains, au sein du Congrès.
Mais malgré cela, tout laisse penser que l’administration Bush, en adoptant une politique envisageant de multiples scénarios, poursuit de vastes objectifs, dont le plus important est de dominer la région, par la création des divergences religieuses et ethniques, ainsi qu'en instaurant un climat de méfiance dans les relations entre les pays de la région. Mais avec la révélation des véritables intentions de Washington, sa politique a perdu de son efficacité, à tel point que, même, certains Chefs d’Etat et de gouvernement qui considéraient la présence militaire américaine, dans la région, comme nécessaire à leur sécurité, en doutent, à présent, de plus en plus. Par conséquent, s’appuyer sur le potentiel et la confiance inter-régionale, tout en s'efforçant de s’éloigner des courants divisionnistes ethniques et religieux, par le renforcement de l’unité islamique, est la seule manière de sauver la région des complots des étrangers, et Téhéran peut être un maillon fort de cette unité.