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Le président du parlement iranien Ali Larijani a prôné, ce mardi, la "peine maximale" contre les "contre-révolutionnaires" qui sont derrière les troubles de dimanche en Iran.
Dans un discours devant le parlement, M. Larijani a adressé une nouvelle mise en garde aux dirigeants de l'opposition.
Le parlement veut que les services de renseignements et les autorités judiciaires arrêtent les contre-révolutionnaires et leur imposent la peine maximale, a déclaré M.Larijani. Mais il a affirmé que le parlement "établit une distinction entre les mouvements politiques représentant la gauche au sein du régime et les contre-révolutionnaires".
"Nous attendons que ces messieurs (dirigeants de l'opposition) qui se sont plaints de l'élection se séparent de ce mouvement pernicieux, et non qu'ils se manifestent par de nouvelles déclarations alourdissant l'atmosphère", a ajouté M. Larijani.
Plusieurs responsables iraniens avaient appelé lundi à des mesures contre les dirigeants de l'opposition après les émeutes de dimanche, qui ont fait au moins huit morts et des centaines d'arrestations.
De leur coté, les Gardiens de la révolution iranienne et le Bassidj ont affirmé lundi être "totalement prêts" à intervenir contre les fauteurs de troubles de dimanche.
"Le corps des Gardiens de la révolution et le Bassidj sont totalement prêts, si nécessaire, à éradiquer le complot et demandent instamment à l'autorité judiciaire de réagir fermement, sans aucune restriction, contre les comploteurs", déclare un communiqué diffusé sur le site internet de la télévision d'Etat. Cette réponse au comploteurs est "une demande nationale", ajoute le communiqué.
L'Organisation de la propagande islamique, a par ailleurs appelé à un grand rassemblement mercredi à Téhéran de la population "contre ceux qui n'ont pas respecté les valeurs de l'Achoura", allusion aux émeutiers qui ont profité de cette journée de deuil religieux dimanche pour provoquer ces troubles.
Dans un discours devant le parlement, M. Larijani a adressé une nouvelle mise en garde aux dirigeants de l'opposition.
Le parlement veut que les services de renseignements et les autorités judiciaires arrêtent les contre-révolutionnaires et leur imposent la peine maximale, a déclaré M.Larijani. Mais il a affirmé que le parlement "établit une distinction entre les mouvements politiques représentant la gauche au sein du régime et les contre-révolutionnaires".
"Nous attendons que ces messieurs (dirigeants de l'opposition) qui se sont plaints de l'élection se séparent de ce mouvement pernicieux, et non qu'ils se manifestent par de nouvelles déclarations alourdissant l'atmosphère", a ajouté M. Larijani.
Plusieurs responsables iraniens avaient appelé lundi à des mesures contre les dirigeants de l'opposition après les émeutes de dimanche, qui ont fait au moins huit morts et des centaines d'arrestations.
De leur coté, les Gardiens de la révolution iranienne et le Bassidj ont affirmé lundi être "totalement prêts" à intervenir contre les fauteurs de troubles de dimanche.
"Le corps des Gardiens de la révolution et le Bassidj sont totalement prêts, si nécessaire, à éradiquer le complot et demandent instamment à l'autorité judiciaire de réagir fermement, sans aucune restriction, contre les comploteurs", déclare un communiqué diffusé sur le site internet de la télévision d'Etat. Cette réponse au comploteurs est "une demande nationale", ajoute le communiqué.
L'Organisation de la propagande islamique, a par ailleurs appelé à un grand rassemblement mercredi à Téhéran de la population "contre ceux qui n'ont pas respecté les valeurs de l'Achoura", allusion aux émeutiers qui ont profité de cette journée de deuil religieux dimanche pour provoquer ces troubles.