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La conférence d’Annapolis comme on pouvait s’y attendre, s’est achevée par quelques photos souvenirs de personnalités en déclin sur la scène internationale comme G.W Bush, Ehud Olmert et Mahmoud Abbas.
Les grands perdants de cette réunion sont les chefs d’Etat et représentants des pays arabes qui sans obtenir le moindre reconnaissance de leur droits perdus doivent rentrer dans les heures à venir les mains vides.
Cela est notamment le cas pour Mahmoud Abbas qui n’a pas voulu entendre le cri quasi unanime du peuple palestinien.
L’hebdomadaire The Times a écrit mardi que Mahmoud Abbas avait demandé aux israéliens de retarder leur promesses de libération de 400 prisonniers palestiniens jusqu’à son retour d’Annapolis pour atténuer son retour sans engagements concrets.
Le scepticisme sur les chances de succès des négociations de paix israélo-palestiniennes est donc resté palpable mardi à la conférence d'Annapolis.
D'autres participants ont carrément fait état de leur déception. "Rien n'incite à l'optimisme", a ainsi déclaré à l'AFP un diplomate arabe, affirmant que "les Arabes en général sont déçus".
"Il n'y a pas d'engagement clair à respecter une date-butoir, c'est seulement un engagement à déployer des efforts" a ajouté ce diplomate ayant requis l'anonymat.
Pour Scott Lasenski, un expert au centre de recherche United States Institute of Peace venu assister à la conférence, la déclaration commune israélo-palestinienne, arrachée à la dernière minute, est trop vague car elle n'énumère même pas les questions en suspens qu'Israéliens et Palestiniens s'engagent à résoudre avant la fin 2008.
"C'est un mauvais signe", estime cet expert, pour qui "la substance de la réunion d'Annapolis réside dans le symbolisme, et notamment la participation arabe".
http://www2.irna.ir/fr/news
Les grands perdants de cette réunion sont les chefs d’Etat et représentants des pays arabes qui sans obtenir le moindre reconnaissance de leur droits perdus doivent rentrer dans les heures à venir les mains vides.
Cela est notamment le cas pour Mahmoud Abbas qui n’a pas voulu entendre le cri quasi unanime du peuple palestinien.
L’hebdomadaire The Times a écrit mardi que Mahmoud Abbas avait demandé aux israéliens de retarder leur promesses de libération de 400 prisonniers palestiniens jusqu’à son retour d’Annapolis pour atténuer son retour sans engagements concrets.
Le scepticisme sur les chances de succès des négociations de paix israélo-palestiniennes est donc resté palpable mardi à la conférence d'Annapolis.
D'autres participants ont carrément fait état de leur déception. "Rien n'incite à l'optimisme", a ainsi déclaré à l'AFP un diplomate arabe, affirmant que "les Arabes en général sont déçus".
"Il n'y a pas d'engagement clair à respecter une date-butoir, c'est seulement un engagement à déployer des efforts" a ajouté ce diplomate ayant requis l'anonymat.
Pour Scott Lasenski, un expert au centre de recherche United States Institute of Peace venu assister à la conférence, la déclaration commune israélo-palestinienne, arrachée à la dernière minute, est trop vague car elle n'énumère même pas les questions en suspens qu'Israéliens et Palestiniens s'engagent à résoudre avant la fin 2008.
"C'est un mauvais signe", estime cet expert, pour qui "la substance de la réunion d'Annapolis réside dans le symbolisme, et notamment la participation arabe".
http://www2.irna.ir/fr/news