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Dans quelques jours, le président Yayi Boni fêtera ses deux années à la tête de la République Béninoise. La sobriété de son style et l’inspiration de ses actions n’on pas manqué de sonner le glas à une opposition qui n’existe que de nom. La dernière sortie de l’ex-président Nicéphore Soglo, qui n’honore d’ailleurs pas son auteur, interroge l’Afrique toute entière et le Mouvement de Libération de l’Afrique Noire (MLAN) sur une telle attitude. Porte parole de la jeunesse populaire africaine et vigie d’une nouvelle Afrique, le MLAN se doit de donner son sentiment sur cette épreuve de la démocratie béninoise.
Depuis les indépendances, en faisant le bilan, on se rend compte que rien n’a changé si ce n’est une petite élite qui s’accapare toutes les richesses dans chaque pays africain pris individuellement. Les présidents se succèdent et rien de nouveau et ceux qui, aimant leur peuple travaillent à son bien-être sont liquidés ou empêchés de le faire par une opposition à la solde de leurs maîtres occidentaux. C’est ainsi qu’il est indiqué de qualifier le cas du président Yayi Boni du Bénin. Après seulement deux ans de gestion du pouvoir du président Boni, l'économie béninoise connaît un taux de croissance qui table autour de 6,3 pour cent contre 3,2 pour en cent en 2006. Les structures mises en place et la volonté de donner à chacun des béninois le fruit des richesses nous remplissent de considération. Nous voulons pour notre continent, que Quiconque se pique de veiller au maintien des lois et du gouvernement doit au moins, s’il ne peut rien de plus, partager les sentiments de ses concitoyens, en s’affligeant de ce qui les afflige, et se réjouissant de ce qui les réjouit. Le MLAN soutiendra les gouvernants qui n’auront d’autres horizons que l’Afrique et l’amélioration des conditions de vie des siens, c’est pourquoi, nous condamnons les agitations de certains barbouilleurs de la politique contre le président Yayi Boni. L’Afrique a changé et elle a besoin de présidents aux idées nouvelles. Après la sortie peu fructueuse de certains politiques dont monsieur Nicéphore Soglo de la Renaissance du Bénin (RB), Me Adrien Houngbédji du Parti pour le Renouveau démocratique (PRD), Bruno Amoussou du Parti social pour la démocratie (PSD), et Antoine Idji Kolawolé du Mouvement Africain pour la démocratie et le progrès (MADEP), par le biais d’une déclaration aux relents de jalousie enkystée, il est revenu au premier cité, sur les ondes de Radio France Internationale (RFI),de porter atteinte à la jeune démocratie béninoise. En comparant le Bénin au Togo d’Eyadema et au Zaïre de Mobutu, c’est saper les fondements d’une nation dont la résistance n’est pas qu’un mot mais un comportement. C’est aussi oublier l’histoire du Dahomey dont Béhanzin est une figure emblématique. Nous considérons ces sorties répétées hasardeuses et attentatoires à la démocratie, qui sonnent comme une déclaration de « guerre » à la libération des populations africaines et béninoises en particulier. Certainement distancés dans les idées comme dans la pratique de la politique, certains politiques s’opposent au changement alors qu’ils ont eu l’opportunité de montrer leur amour pour le Bénin. Ces hommes politiques qui croyaient que souffrir pour leur peuple signifiait faire l'aumône de son engagement aux siens.
Le MLAN se tient à la brèche et ne permettra pas que les valeureux fils qui œuvrent pour la liberté et la prospérité des africains soient livrés comme par le passé à la nébuleuse occidentale dont le seul objectif est de maintenir l’Afrique dans l’ornière de la pauvreté.
C’est pourquoi, le MLAN en appelle à la conscience et au courage des béninois afin de barrer la route à cette élite africaine corvéable et caméléonesque. Dans Les Damnés de la terre, Frantz Fanon disait que « Politiser les masses, c’est s’acharner avec rage à faire comprendre aux masses que tout dépend d’elles ». À l’image de nos pères et grand-pères à l’instar de Béhanzin qui résista héroïquement à la pénétration coloniale, il est de notre responsabilité, aujourd’hui, biens aimés béninois, de refaire l’histoire en luttant contre nos propres frères qui nous aliènent et retardent le développement de notre beau continent.
Le MLAN vous invite avec empressement à soutenir les actions salutaires, innovantes et libératrices du président Yayi Boni, dont nous ne doutons pas un seul instant que sous sa présidence, le Bénin tiendra une place sémillante dans le microcosme mondial.
Dieu bénisse l'Afrique!
Vive le Bénin libre et prospère!
Le Président du MLAN
Prao Yao Séraphin
contact@yahoo.fr
www.mlan.fr
Depuis les indépendances, en faisant le bilan, on se rend compte que rien n’a changé si ce n’est une petite élite qui s’accapare toutes les richesses dans chaque pays africain pris individuellement. Les présidents se succèdent et rien de nouveau et ceux qui, aimant leur peuple travaillent à son bien-être sont liquidés ou empêchés de le faire par une opposition à la solde de leurs maîtres occidentaux. C’est ainsi qu’il est indiqué de qualifier le cas du président Yayi Boni du Bénin. Après seulement deux ans de gestion du pouvoir du président Boni, l'économie béninoise connaît un taux de croissance qui table autour de 6,3 pour cent contre 3,2 pour en cent en 2006. Les structures mises en place et la volonté de donner à chacun des béninois le fruit des richesses nous remplissent de considération. Nous voulons pour notre continent, que Quiconque se pique de veiller au maintien des lois et du gouvernement doit au moins, s’il ne peut rien de plus, partager les sentiments de ses concitoyens, en s’affligeant de ce qui les afflige, et se réjouissant de ce qui les réjouit. Le MLAN soutiendra les gouvernants qui n’auront d’autres horizons que l’Afrique et l’amélioration des conditions de vie des siens, c’est pourquoi, nous condamnons les agitations de certains barbouilleurs de la politique contre le président Yayi Boni. L’Afrique a changé et elle a besoin de présidents aux idées nouvelles. Après la sortie peu fructueuse de certains politiques dont monsieur Nicéphore Soglo de la Renaissance du Bénin (RB), Me Adrien Houngbédji du Parti pour le Renouveau démocratique (PRD), Bruno Amoussou du Parti social pour la démocratie (PSD), et Antoine Idji Kolawolé du Mouvement Africain pour la démocratie et le progrès (MADEP), par le biais d’une déclaration aux relents de jalousie enkystée, il est revenu au premier cité, sur les ondes de Radio France Internationale (RFI),de porter atteinte à la jeune démocratie béninoise. En comparant le Bénin au Togo d’Eyadema et au Zaïre de Mobutu, c’est saper les fondements d’une nation dont la résistance n’est pas qu’un mot mais un comportement. C’est aussi oublier l’histoire du Dahomey dont Béhanzin est une figure emblématique. Nous considérons ces sorties répétées hasardeuses et attentatoires à la démocratie, qui sonnent comme une déclaration de « guerre » à la libération des populations africaines et béninoises en particulier. Certainement distancés dans les idées comme dans la pratique de la politique, certains politiques s’opposent au changement alors qu’ils ont eu l’opportunité de montrer leur amour pour le Bénin. Ces hommes politiques qui croyaient que souffrir pour leur peuple signifiait faire l'aumône de son engagement aux siens.
Le MLAN se tient à la brèche et ne permettra pas que les valeureux fils qui œuvrent pour la liberté et la prospérité des africains soient livrés comme par le passé à la nébuleuse occidentale dont le seul objectif est de maintenir l’Afrique dans l’ornière de la pauvreté.
C’est pourquoi, le MLAN en appelle à la conscience et au courage des béninois afin de barrer la route à cette élite africaine corvéable et caméléonesque. Dans Les Damnés de la terre, Frantz Fanon disait que « Politiser les masses, c’est s’acharner avec rage à faire comprendre aux masses que tout dépend d’elles ». À l’image de nos pères et grand-pères à l’instar de Béhanzin qui résista héroïquement à la pénétration coloniale, il est de notre responsabilité, aujourd’hui, biens aimés béninois, de refaire l’histoire en luttant contre nos propres frères qui nous aliènent et retardent le développement de notre beau continent.
Le MLAN vous invite avec empressement à soutenir les actions salutaires, innovantes et libératrices du président Yayi Boni, dont nous ne doutons pas un seul instant que sous sa présidence, le Bénin tiendra une place sémillante dans le microcosme mondial.
Dieu bénisse l'Afrique!
Vive le Bénin libre et prospère!
Le Président du MLAN
Prao Yao Séraphin
contact@yahoo.fr
www.mlan.fr