
Le 26 juillet le professeur en médecine et député de l’UMP Bernard Debré a dénoncé dans le journal Le Monde l’inutilité et le coût de la campagne de vaccination contre la grippe A que préparaient les ministères de l’intérieur et de la santé. Debré, à qui sa qualité de représentant du peuple, de médecin et de professeur donne une autorité morale, a aussi reproché au gouvernement la peur que généraient ces préparatifs. La radio et la télévision ont généreusement rapporté et commenté ses propos aux heures de grande écoute. Plus qu’une opération financière scandaleuse, ce projet de campagne de vaccination et une certaine forme d’opposition médiatisée qu’il suscite sont, à notre avis, une entreprise de subversion de l’Etat français [1] conduite au plus haut niveau…
Voici donc que le gouvernement fait dresser les plans d’une campagne de vaccination obligatoire, digne d’un régime totalitaire. Une fuite [2] a dévoilé une organisation nationale qui impliquait la police et l’armée – les "vaccimilices" de Baxter et Sanofi-Aventis, armées par l’Etat qui devrait protéger les personnes et les biens [3]… La force publique, apprend-on, réduira à l’état de spectateur le médecin de famille qui est dans la conscience populaire l’homme instruit de confiance, l’allié contre la maladie, parfois le confident. Ce faisant, L’Etat pourrait-il être plus agressif, socialement parlant, et plus intrusif d’une point de vue individuel?
En s’apprêtant à faire du citoyen le cobaye d’un vaccin homologué à la va-vite et dont la composition inquiète la profession médicale, il se sacre roi Ubu en la personne du Président de la République… Mais pourquoi Sarkozy fait-il cavalier seul contre une pandémie? Une action européenne ne va-t-elle pas de soi pour ce champion de la Constitution Européenne qui fait l’antichambre de nos institutions? Pourquoi avoir provoqué chez nous la peur et le mécontentement populaire contre l’Etat français, tandis qu’on ignorait cette pandémie lors de la dernière réunion du G20, par excellence la tribune internationale des puissants de ce monde?
Sur le chemin du gouvernement mondial qu’Attali le nomade du fric au vert et Cohn-Bendit le Vert friqué [4] présentent comme le sauveteur de la planète – les élections européennes ont consacré l’alliance "fric propre" - la France se soumettra bientôt à la Déconstitution Européenne des nations. Mais les Français, ballotés entre crises et scandales, ont compris que la globalisation qui ruinait les producteurs de lait et l’Europe qui rançonnait les maraîchers ne profitait qu’à une minorité cosmopolite qui s’enrichissait sur leur dos. Incapable de redorer le blason européen (avec quel or?) et agacé par l’apparition çà et là de mouvements de résistance nationale au Système mondialiste, ce dernier mène un combat d’arrière-garde. Fidèle à la dialectique des fausses oppositions qui d’ordinaire lui réussit bien, il fait, de l’Etat administrateur de la Nation française qui est notre dernier rempart contre l’esclavage global, un épouvantail. Marianne monte sur scène la seringue à la main, pour que les Français, dégoûtés par la République qui veut les empoisonner, exigent qu’on agrandisse les décors. Ainsi le Système induit-il le dégoût et la peur de l’Etat qu’il travaille à détruire, avant de fourrer le citoyen dans la corbeille que Marianne emportera à son mariage forcé avec le gouvernement mondial.
On observe aux Etats-Unis d’Amérique un phénomène similaire mais plus avancé dans le temps; en voici un exemple. Ce qui passe auprès des "sceptiques du 11 septembre" pour des maladresses qui trahissent les auteurs des attentats – bévues paradoxales d’une opération géniale – sont des bombes à retardement posées à dessein. Ainsi ces attentats furent-ils conçus, à notre avis, comme une arme à double tranchant. Celle-ci, après avoir exercé ses premières fonctions conquérantes et dominatrices, domestiques ou internationales, sera bientôt retournée contre l’Oncle Sam et fera de ce dernier un objet de scandale et de dégoût [5]. On poussera alors les citoyens américains qui n’en pourront mais dans les bras du gouvernement mondial, unique secours contre la folie d’Ubu… Ce double emploi dialectique subversif n’est pas une première. Les deux guerres mondiales, par exemple, furent orchestrées à une fin antipatriotique, sous couvert de patriotisme [6,7]. Puis ce noble sentiment qui procédait de l’instinct collectif de survie fut en France vilipendé et accusé d’être un fauteur de guerres; on changea les mentalités. Après que la défense immunitaire nationale qu’était le patriotisme fût devenue aux yeux de la plupart des Français un danger ou un objet de risée, on dévoila le dessein originel de la construction européenne et de la dilution de nos nations. On aura remarqué que l’antipatriotisme – empoisonnement collectif – et le vaccin contre la grippe – la Citée empoisonnée s’occupe de vous – ont tous deux une fonction d’affaiblissement immunitaire…
Denis Jaisson
Membre d'E&R
[1] Nous suivons ici les grandes lignes de notre article publié par voxnr.com, www.voxnr.com/cc/politique/EkVupuppllmNhBAzEA.shtml
[2] Lettre adressée le 21 août par les ministères de l’intérieur et de la santé aux préfets de zone de défense, préfets de région, préfets de département et directeurs des agences régionales de l'hospitalisation, et qui avait pour objet la "planification logistique d'une campagne de vaccination contre le nouveau virus A(HlN1)".
[3] D’après le sociologue Laurent Mucchielli, chercheur au CNRS, «ils (la police et la gendarmerie) sont organisés d'une manière qui contribue à les éloigner du terrain et de la population», http://fr.news.yahoo.com/4/20090925/tts-france-securite-ca02f96.html. Est-ce sur les conseils d’Alain Bauer que les néo-cons francais extraient du peuple la police et la gendarmerie? Supposons qu’à la faveur de cet éloignement la polulation reproche à la force publique, dont on réduit les effectifs et qu’on soumet à la pression du résultat, de ne pas la protéger et de faire du chiffre. Police et la gendarmerie sont outrées par une injustice ressentie et amplifiée par les media habituels. Un esprit de caste méprisant et déshumanisant vis-à-vis du peuple se développe; les dérapages se multiplient et le ressentiment populaire augmente… Les conditions sont alors réunies pour un virage totalitaire qui est impossible si police et gendarmerie vivent et travaillent au milieu du peuple.
[4] Un gouvernement mondial de quelle nature? Démocratique ou totalitaire? En juin 2009 eut lieu à Essen en Allemagne une conférence sur "La grande Transformation, le changement climatique en tant que changement culturel". On introduisit l’atelier du 10 juin en disant que «les régimes démocratiques ne sont pas bien préparés au niveau de participation requis. Les sociétés démocratiques peuvent-elles faire face aux conséquences de graves changements du climat global, ou des régimes autoritaires seraient-ils plus aptes à faire appliquer les mesures nécessaires?» www.greattransformation.eu/index.php/program
[5] Le 11/9/2009 Manny Badillo réclama au micro de langue anglaise de France
24* l’ouverture d’une enquête sur les attentats du 11/9/2001, en des termes accablants pour le gouvernement et les services secrets américains. Les journalistes français, eux, en sont encore à l’outrance grotesque de l’anathème anti-révisionniste et à la réduction du mouvement des sceptiques du 11/9 à trois potaches qui gagnent leur l’argent de poche en vendant des vidéos fantaisistes… Nous saluons le travail remarquable d’organisations bien informées telles que ReOpen911 mais nous restons sans voix devant la malice du Système mondialiste qui a commencé à se servir de leur travail à une fin de déstabilisation du gouvernement américain!
* www.dailymotion.com/video/xais7a_manny-badillo-membre-des-familles-d_news
[6] Mgr Henri Delassus, "Les pourquoi de la première guerre mondiale", réédition, www.saint-remi.fr
[7] Annie Lacroix-Riz, "Le choix de la défaite", Armand Colin, 2006
Voici donc que le gouvernement fait dresser les plans d’une campagne de vaccination obligatoire, digne d’un régime totalitaire. Une fuite [2] a dévoilé une organisation nationale qui impliquait la police et l’armée – les "vaccimilices" de Baxter et Sanofi-Aventis, armées par l’Etat qui devrait protéger les personnes et les biens [3]… La force publique, apprend-on, réduira à l’état de spectateur le médecin de famille qui est dans la conscience populaire l’homme instruit de confiance, l’allié contre la maladie, parfois le confident. Ce faisant, L’Etat pourrait-il être plus agressif, socialement parlant, et plus intrusif d’une point de vue individuel?
En s’apprêtant à faire du citoyen le cobaye d’un vaccin homologué à la va-vite et dont la composition inquiète la profession médicale, il se sacre roi Ubu en la personne du Président de la République… Mais pourquoi Sarkozy fait-il cavalier seul contre une pandémie? Une action européenne ne va-t-elle pas de soi pour ce champion de la Constitution Européenne qui fait l’antichambre de nos institutions? Pourquoi avoir provoqué chez nous la peur et le mécontentement populaire contre l’Etat français, tandis qu’on ignorait cette pandémie lors de la dernière réunion du G20, par excellence la tribune internationale des puissants de ce monde?
Sur le chemin du gouvernement mondial qu’Attali le nomade du fric au vert et Cohn-Bendit le Vert friqué [4] présentent comme le sauveteur de la planète – les élections européennes ont consacré l’alliance "fric propre" - la France se soumettra bientôt à la Déconstitution Européenne des nations. Mais les Français, ballotés entre crises et scandales, ont compris que la globalisation qui ruinait les producteurs de lait et l’Europe qui rançonnait les maraîchers ne profitait qu’à une minorité cosmopolite qui s’enrichissait sur leur dos. Incapable de redorer le blason européen (avec quel or?) et agacé par l’apparition çà et là de mouvements de résistance nationale au Système mondialiste, ce dernier mène un combat d’arrière-garde. Fidèle à la dialectique des fausses oppositions qui d’ordinaire lui réussit bien, il fait, de l’Etat administrateur de la Nation française qui est notre dernier rempart contre l’esclavage global, un épouvantail. Marianne monte sur scène la seringue à la main, pour que les Français, dégoûtés par la République qui veut les empoisonner, exigent qu’on agrandisse les décors. Ainsi le Système induit-il le dégoût et la peur de l’Etat qu’il travaille à détruire, avant de fourrer le citoyen dans la corbeille que Marianne emportera à son mariage forcé avec le gouvernement mondial.
On observe aux Etats-Unis d’Amérique un phénomène similaire mais plus avancé dans le temps; en voici un exemple. Ce qui passe auprès des "sceptiques du 11 septembre" pour des maladresses qui trahissent les auteurs des attentats – bévues paradoxales d’une opération géniale – sont des bombes à retardement posées à dessein. Ainsi ces attentats furent-ils conçus, à notre avis, comme une arme à double tranchant. Celle-ci, après avoir exercé ses premières fonctions conquérantes et dominatrices, domestiques ou internationales, sera bientôt retournée contre l’Oncle Sam et fera de ce dernier un objet de scandale et de dégoût [5]. On poussera alors les citoyens américains qui n’en pourront mais dans les bras du gouvernement mondial, unique secours contre la folie d’Ubu… Ce double emploi dialectique subversif n’est pas une première. Les deux guerres mondiales, par exemple, furent orchestrées à une fin antipatriotique, sous couvert de patriotisme [6,7]. Puis ce noble sentiment qui procédait de l’instinct collectif de survie fut en France vilipendé et accusé d’être un fauteur de guerres; on changea les mentalités. Après que la défense immunitaire nationale qu’était le patriotisme fût devenue aux yeux de la plupart des Français un danger ou un objet de risée, on dévoila le dessein originel de la construction européenne et de la dilution de nos nations. On aura remarqué que l’antipatriotisme – empoisonnement collectif – et le vaccin contre la grippe – la Citée empoisonnée s’occupe de vous – ont tous deux une fonction d’affaiblissement immunitaire…
Denis Jaisson
Membre d'E&R
[1] Nous suivons ici les grandes lignes de notre article publié par voxnr.com, www.voxnr.com/cc/politique/EkVupuppllmNhBAzEA.shtml
[2] Lettre adressée le 21 août par les ministères de l’intérieur et de la santé aux préfets de zone de défense, préfets de région, préfets de département et directeurs des agences régionales de l'hospitalisation, et qui avait pour objet la "planification logistique d'une campagne de vaccination contre le nouveau virus A(HlN1)".
[3] D’après le sociologue Laurent Mucchielli, chercheur au CNRS, «ils (la police et la gendarmerie) sont organisés d'une manière qui contribue à les éloigner du terrain et de la population», http://fr.news.yahoo.com/4/20090925/tts-france-securite-ca02f96.html. Est-ce sur les conseils d’Alain Bauer que les néo-cons francais extraient du peuple la police et la gendarmerie? Supposons qu’à la faveur de cet éloignement la polulation reproche à la force publique, dont on réduit les effectifs et qu’on soumet à la pression du résultat, de ne pas la protéger et de faire du chiffre. Police et la gendarmerie sont outrées par une injustice ressentie et amplifiée par les media habituels. Un esprit de caste méprisant et déshumanisant vis-à-vis du peuple se développe; les dérapages se multiplient et le ressentiment populaire augmente… Les conditions sont alors réunies pour un virage totalitaire qui est impossible si police et gendarmerie vivent et travaillent au milieu du peuple.
[4] Un gouvernement mondial de quelle nature? Démocratique ou totalitaire? En juin 2009 eut lieu à Essen en Allemagne une conférence sur "La grande Transformation, le changement climatique en tant que changement culturel". On introduisit l’atelier du 10 juin en disant que «les régimes démocratiques ne sont pas bien préparés au niveau de participation requis. Les sociétés démocratiques peuvent-elles faire face aux conséquences de graves changements du climat global, ou des régimes autoritaires seraient-ils plus aptes à faire appliquer les mesures nécessaires?» www.greattransformation.eu/index.php/program
[5] Le 11/9/2009 Manny Badillo réclama au micro de langue anglaise de France
24* l’ouverture d’une enquête sur les attentats du 11/9/2001, en des termes accablants pour le gouvernement et les services secrets américains. Les journalistes français, eux, en sont encore à l’outrance grotesque de l’anathème anti-révisionniste et à la réduction du mouvement des sceptiques du 11/9 à trois potaches qui gagnent leur l’argent de poche en vendant des vidéos fantaisistes… Nous saluons le travail remarquable d’organisations bien informées telles que ReOpen911 mais nous restons sans voix devant la malice du Système mondialiste qui a commencé à se servir de leur travail à une fin de déstabilisation du gouvernement américain!
* www.dailymotion.com/video/xais7a_manny-badillo-membre-des-familles-d_news
[6] Mgr Henri Delassus, "Les pourquoi de la première guerre mondiale", réédition, www.saint-remi.fr
[7] Annie Lacroix-Riz, "Le choix de la défaite", Armand Colin, 2006