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La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a indiqué jeudi qu'elle allait presser la Russie de renoncer à vendre des missiles sol-air perfectionnés à l'Iran lors de son entretien vendredi à Genève avec son homologue russe Sergueï Lavrov.
Mme Clinton a souligné qu'à cette occasion elle "soulèverait de nouveau la question des discussions continuelles qu'a la Russie avec l'Iran à propos de la vente de missiles à plus longue portée" que ceux dont Téhéran dispose déjà.
Une telle perspective "constitue une menace pour la Russie aussi bien que
pour l'Europe et ses voisins dans la région" du Moyen-Orient, a-t-elle estimé.
Les missiles sol-air en question, des S-300, sont capables de frapper un avion à 30 km d'altitude et à 150 km de distance. En 2007, la Russie avait livré à l'Iran 29 systèmes de défense antiaérienne TOR-M1, à beaucoup plus courte portée que les S-300.
La première rencontre qu'aura Mme Clinton avec M. Lavrov constituera pour
Washington un test de sa capacité à améliorer des relations bilatérales qui se sont fortement détériorées durant la présidence Bush.
Moscou souffle le chaud et le froid depuis des mois sur la livraison de ces systèmes antiaériens très perfectionnés, qui rendraient plus difficiles des bombardements aériens destinés à détruire les installations nucléaires iraniennes.
Le président Barack Obama a écrit récemment une lettre à son homologue russe Dimitri Medvedev où il souligne que le projet de bouclier antimissile américain en Europe qui déplaît tant à Moscou est lié à l'avenir des programmes nucléaires et balistiques iraniens.
Mme Clinton a souligné qu'à cette occasion elle "soulèverait de nouveau la question des discussions continuelles qu'a la Russie avec l'Iran à propos de la vente de missiles à plus longue portée" que ceux dont Téhéran dispose déjà.
Une telle perspective "constitue une menace pour la Russie aussi bien que
pour l'Europe et ses voisins dans la région" du Moyen-Orient, a-t-elle estimé.
Les missiles sol-air en question, des S-300, sont capables de frapper un avion à 30 km d'altitude et à 150 km de distance. En 2007, la Russie avait livré à l'Iran 29 systèmes de défense antiaérienne TOR-M1, à beaucoup plus courte portée que les S-300.
La première rencontre qu'aura Mme Clinton avec M. Lavrov constituera pour
Washington un test de sa capacité à améliorer des relations bilatérales qui se sont fortement détériorées durant la présidence Bush.
Moscou souffle le chaud et le froid depuis des mois sur la livraison de ces systèmes antiaériens très perfectionnés, qui rendraient plus difficiles des bombardements aériens destinés à détruire les installations nucléaires iraniennes.
Le président Barack Obama a écrit récemment une lettre à son homologue russe Dimitri Medvedev où il souligne que le projet de bouclier antimissile américain en Europe qui déplaît tant à Moscou est lié à l'avenir des programmes nucléaires et balistiques iraniens.