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Deux Ouïghours, tués lundi par la police, et un troisième, qui a été blessé, avaient tenté d'inciter d'autres musulmans au "jihad" et attaqué le garde d'une mosquée d'Urumqi, avant que les forces de sécurité chinoises n'ouvrent le feu, a affirmé l'agence Chine Nouvelle.
L'incident a commencé quand près de 150 musulmans priaient dans la mosquée, située dans un quartier musulman de la capitale du Xinjiang, région autonome du nord-ouest chinois, selon le témoignage d'un imam, que Chine Nouvelle ne nomme pas.
Un homme s'est levé, a tenté d'interrompre les prières, mais en a empêché. Il s'est relevé quelques minutes plus tard, brandissant une banderole verte et appelant à la "guerre sainte", assure la même source.
L'imam a mis un terme à la prière en déclarant à l'homme: "Nous ne te suivrons absolument pas. Sors!".
Deux autres hommes ont alors sorti d'un sac trois couteaux de 50 centimètres de long, provoquant l'intervention des gardes de la mosquée. L'un d'eux, âgé d'une quarantaine d'années, a expliqué qu'il avait été pourchassé hors de la mosquée mais qu'il était tombé sur une patrouille des forces de sécurité, qui a fait feu après des tirs de semonce, assure encore l'agence.
La municipalité d'Urumqi avait annoncé lundi soir qu'une patrouille de la sécurité publique avait ouvert le feu sur "un groupe de trois contrevenants présumés ouïghours, munis de longs couteaux et de bâtons, qui prenaient en chasse un autre Ouïghour", faisant deux morts et un blessé. Des témoins ouïghours avaient pour leur part affirmé que les suspects avaient tenté d'attaquer les policiers.
Cela dit, le bilan des morts à Urumqi lors des émeutes du 5 juillet dans la capitale du Xinjiang, a augmenté, passant de 184 à 192, a annoncé l'agence Chine Nouvelle, citant un responsable local.
Dimanche, les autorités avaient nettement revu à la hausse le nombre de blessés dans ces émeutes interethniques, le faisant passer de 1.080 à 1.680. Sur ce total, 216 étaient dans un état grave, dont 74 dans un état critique.
L'incident a commencé quand près de 150 musulmans priaient dans la mosquée, située dans un quartier musulman de la capitale du Xinjiang, région autonome du nord-ouest chinois, selon le témoignage d'un imam, que Chine Nouvelle ne nomme pas.
Un homme s'est levé, a tenté d'interrompre les prières, mais en a empêché. Il s'est relevé quelques minutes plus tard, brandissant une banderole verte et appelant à la "guerre sainte", assure la même source.
L'imam a mis un terme à la prière en déclarant à l'homme: "Nous ne te suivrons absolument pas. Sors!".
Deux autres hommes ont alors sorti d'un sac trois couteaux de 50 centimètres de long, provoquant l'intervention des gardes de la mosquée. L'un d'eux, âgé d'une quarantaine d'années, a expliqué qu'il avait été pourchassé hors de la mosquée mais qu'il était tombé sur une patrouille des forces de sécurité, qui a fait feu après des tirs de semonce, assure encore l'agence.
La municipalité d'Urumqi avait annoncé lundi soir qu'une patrouille de la sécurité publique avait ouvert le feu sur "un groupe de trois contrevenants présumés ouïghours, munis de longs couteaux et de bâtons, qui prenaient en chasse un autre Ouïghour", faisant deux morts et un blessé. Des témoins ouïghours avaient pour leur part affirmé que les suspects avaient tenté d'attaquer les policiers.
Cela dit, le bilan des morts à Urumqi lors des émeutes du 5 juillet dans la capitale du Xinjiang, a augmenté, passant de 184 à 192, a annoncé l'agence Chine Nouvelle, citant un responsable local.
Dimanche, les autorités avaient nettement revu à la hausse le nombre de blessés dans ces émeutes interethniques, le faisant passer de 1.080 à 1.680. Sur ce total, 216 étaient dans un état grave, dont 74 dans un état critique.