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Sceptiques, les médias israéliens ont mis en doute le discours du premier ministre Ehud Olmert surtout concernant les objectifs atteints, objectifs qui sont restés ambigus, et qui selon Yediot Ahronot ne justifie pas le massacre de centaines de civils dont des enfants.
Pire, Yédiot Ahoronot et Maariv, relèvent que le soldat franco-israélien Gilad Shalit enlevé en juin 2006 et détenu dans la bande de Gaza par le Hamas n'a toujours pas été libéré.
Le Haaretz, estime que tous les objectifs n'ont pas été atteints: « les tirs de roquettes ont continué durant toute l'opération et il faudra attendre plusieurs semaines pour savoir s'ils vont cesser. Une crise humanitaire n'a pas été évitée dans la bande de Gaza ».
Le Jerusalem Post, s'interroge pour sa part dans une analyse intitulée: "Le Hamas ne changera jamais. Est-ce que l'Egypte changera?".
Dans un éditorial, ce quotidien conservateur a également recours au point d'interrogation: "La dissuasion (israélienne) restaurée?".
"Israël a toute les raisons d'être sceptique sur le fait que les engagements pris se traduiront par une diminution tangible des capacités de l'ennemi (le Hamas) à introduire en contrebande des armes iraniennes dans la bande de Gaza", souligne le journal à propos des engagements pris par l'Egypte.
Nahum Barnéa, un éditorialiste très influent, souligne pour sa part dans le Yédiot Aharonot que le "consensus national en Israël qui prévalait durant les combats est mort avec l'entrée en vigueur du cessez-le-feu".
"Les élections du 10 février approchent, tous les partis doivent désormais partir à la chasse aux électeurs", ajoute ce journal.
Pire, Yédiot Ahoronot et Maariv, relèvent que le soldat franco-israélien Gilad Shalit enlevé en juin 2006 et détenu dans la bande de Gaza par le Hamas n'a toujours pas été libéré.
Le Haaretz, estime que tous les objectifs n'ont pas été atteints: « les tirs de roquettes ont continué durant toute l'opération et il faudra attendre plusieurs semaines pour savoir s'ils vont cesser. Une crise humanitaire n'a pas été évitée dans la bande de Gaza ».
Le Jerusalem Post, s'interroge pour sa part dans une analyse intitulée: "Le Hamas ne changera jamais. Est-ce que l'Egypte changera?".
Dans un éditorial, ce quotidien conservateur a également recours au point d'interrogation: "La dissuasion (israélienne) restaurée?".
"Israël a toute les raisons d'être sceptique sur le fait que les engagements pris se traduiront par une diminution tangible des capacités de l'ennemi (le Hamas) à introduire en contrebande des armes iraniennes dans la bande de Gaza", souligne le journal à propos des engagements pris par l'Egypte.
Nahum Barnéa, un éditorialiste très influent, souligne pour sa part dans le Yédiot Aharonot que le "consensus national en Israël qui prévalait durant les combats est mort avec l'entrée en vigueur du cessez-le-feu".
"Les élections du 10 février approchent, tous les partis doivent désormais partir à la chasse aux électeurs", ajoute ce journal.