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L'Iran rejette, en effet, la résolution du Conseil de sécurité et poursuivra ses activités nucléaires civiles qui restent, parfaitement, légales. Le Conseil de sécurité vient d'adopter une résolution contre un pays signataire et membre, à part entière, du TNP, qui a toujours condamné le stockage et l'utilisation des armes atomiques, pour des raisons idéologiques et humaines. Les installations nucléaires iraniennes ont fait l'objet de plus de 2000 inspections homme/jour, de la part des inspecteurs de l'AIEA, qui n'ont détecté, ni signalé une quelconque dérive militaire du programme nucléaire iranien. Néanmoins, l'Iran a, volontairement, suspendu ses activités nucléaires légales, deux années durant, pour prouver sa bonne foi.
C'est pourquoi, il est fort étonnant de voir le Conseil de sécurité fermer les yeux sur l'arsenal nucléaire illégal du régime sioniste et adopter une résolution visant à sanctionner Téhéran. Ce que cherche l'Iran, c'est, tout simplement, de jouir de son droit légitime, en matière du nucléaire civil. Si l'on regarde la question de plus près, on se rend compte que le projet de résolution, présenté, par les Etats-Unis et certains Etats européens, n'avait pour objectif que d'exploiter le Conseil de sécurité, dans un but purement politique, contre l'Iran. C'est la raison pour laquelle le Président du Majlis islamique a affirmé que les députés iraniens ne renonceront pas au droit indiscutable de leur pays à bénéficier de l'énergie nucléaire civile et qu'ils étudieront une révision du niveau des relations de l'Iran avec l'AIEA, qui, en dépit d'une coopération étroite des Iraniens, n'a rempli aucun de ses engagements, la maîtrise de l'énergie nucléaire civile étant, exclusivement, l'œuvre des scientifiques iraniens, qui ont fourni des efforts constants, malgré les restrictions, imposées, par les Etats-Unis, au cours de ces 3 dernières décennies.
Par conséquent, la résolution votée au Conseil de sécurité sera, dans les faits, inefficace et dépourvue de valeur, car, en raison de son rang et de son importance, sur la scène régionale et internationale, d'une part, et de ses progrès économiques, de l'autre, l'Iran ne souffrira pas des sanctions, imposées, par le Conseil de sécurité.
C'est pourquoi, il est fort étonnant de voir le Conseil de sécurité fermer les yeux sur l'arsenal nucléaire illégal du régime sioniste et adopter une résolution visant à sanctionner Téhéran. Ce que cherche l'Iran, c'est, tout simplement, de jouir de son droit légitime, en matière du nucléaire civil. Si l'on regarde la question de plus près, on se rend compte que le projet de résolution, présenté, par les Etats-Unis et certains Etats européens, n'avait pour objectif que d'exploiter le Conseil de sécurité, dans un but purement politique, contre l'Iran. C'est la raison pour laquelle le Président du Majlis islamique a affirmé que les députés iraniens ne renonceront pas au droit indiscutable de leur pays à bénéficier de l'énergie nucléaire civile et qu'ils étudieront une révision du niveau des relations de l'Iran avec l'AIEA, qui, en dépit d'une coopération étroite des Iraniens, n'a rempli aucun de ses engagements, la maîtrise de l'énergie nucléaire civile étant, exclusivement, l'œuvre des scientifiques iraniens, qui ont fourni des efforts constants, malgré les restrictions, imposées, par les Etats-Unis, au cours de ces 3 dernières décennies.
Par conséquent, la résolution votée au Conseil de sécurité sera, dans les faits, inefficace et dépourvue de valeur, car, en raison de son rang et de son importance, sur la scène régionale et internationale, d'une part, et de ses progrès économiques, de l'autre, l'Iran ne souffrira pas des sanctions, imposées, par le Conseil de sécurité.