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Je suis ici pour parler du réchauffement mondial et des économies d'énergie
Al Gore Sera Le Premier CO2 Milliardaire
Le New York Times a levé le voile sur la façon dont Al Gore est sur le point d’encaisser des milliards de dollars si la proposition de taxe carbone dont il fait la promotion est votée aux Etats Unis, tout en documentant comment il a déjà rempli ses poches sur le dos de la peur exagérée répandue sur le réchauffement mondial.
Comme on pouvait s’y attendre, l’article du NYT blanchit largement Al Gore adoptant pour le défendre une attitude apologétique.
Cependant, John M. Broder du NYTimes (http://www.nytimes.com/2009/11/03/business/energy-environment/03gore.html?_r=1 ) révèle effectivement comment l’une des sociétés dans lesquelles Al Gore a investi, Silver Spring Networks, a récemment bénéficié d’un contrat d’un montant de 560 millions de $ du département de l’énergie pour installer des « compteurs malins » chez les particuliers (certains esprits critiques pensent que c’est pour réguler) pour mesurer l’utilisation de l’énergie.
« Kleiner Perkins et ses partenaires dont Mr Gore, pourraient dans les années à venir récupérer leurs investissements de multiples fois, » déclare l’article, mettant l’accent sur le fait qu’Al Gore est «en bonne position pour profiter de la révolution verte, si et quand elle arrivera ».
« Des critiques, émises principalement par la droite politique et par des sceptiques sur le réchauffement climatique, ont dit que Mr Gore est en passe de devenir le premier «Carbone Milliardaire», profitant de la politique du gouvernement qu’il soutient et qui va diriger des milliards de dollars vers des partenariats d’affaires dans lesquels il a investi « écrit Broder.
Depuis qu’il a quitté ses fonctions politiques, la fortune nette d’Al Gore est montée en flêche en lien avec sa campagne sur les problèmes de réchauffement climatique et les dividendes financiers que cela induit. Les actions de Gore se chiffraient à 2 millions de $ en 2001, et bien qu’il ait refusé de donner un chiffre sur sa fortune actuelle, il a fait récemment un seul investissement de 35 millions de $ dans le groupe Capricorn Investment, une fond privé d’investissement, ce qui montre avec quelle rapidité Gore s’est enrichi en se ralliant à la propagande sur le réchauffement climatique.
L’article du Times note comment Gore «détient une part dans le marche mondial de crédit carbone dominant» comme nous l’avons rapporté en Mars dernier, de même que Barack Obama avant qu’il ne devienne Président, celui-ci aidant à financer les profiteurs du programme de taxe carbone qu’il essaie de faire voter.
Le Chicago Climate Exchange (CCX) a des liens directs à la fois avec Al Gore et Maurice Strong, deux personnalités intimement impliquées dans un mouvement ancien qui a utilisé la théorie du réchauffement mondial causé par l’homme comme mécanisme pour engranger des profits et se construire une notoriété publique. La société d’investissement de Gore, Generation Investment Management, qui vend des possibilités de compensation carbone, est le plus grand actionnaire du CCX.
Maurice Strong, cité régulièrement comme le père fondateur du mouvement environnemental moderne, siège au conseil d’administration du CCX. Strong a été l’un des principaux initiateurs du Sommet de la Terre au début des années 90, où la théorie du réchauffement mondial causé par le CO2 produit par l’activité humaine a été mise en avant avec insistance.
Les deux, Strong et Gore, sont issus de la clique du Club de Rome, qui dans leur rapport de 1991 «La Première Révolution Mondiale» mentionnait ouvertement comment ils planifiaient de mettre en place leur agenda d’exploitation de ce canular.
« En cherchant un nouvel ennemi qui nous unissait, nous avons eu l’idée de la pollution, la menace de réchauffement mondial, les pénuries d’eau, la famine, toute idée du même genre conviendrait. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et c’est seulement par le biais de changement d’attitudes et de comportements qu’on peut les vaincre. Alors, l’ennemi réel, c’est l’humanité elle-même, » ont-ils écrit. (http://kali-yuga.org/?p=847)
Pour sa défense contre les accusations qu’il colporte la peur du réchauffement mondial pour s’enrichir honteusement, ce qui est fidèlement rapporté dans l’article du NYT qui le blanchit, Gore dit qu’il place simplement son argent en fonction de ce qu’il dit.
Cependant, l’insistance de Gore sur le fait qu’il agit selon ses dires et ne parle pas simplement sans agir, ne semble pas concerner sa vie privée en manière de protection des sources d’énergie et d’émissions de CO2. Gore parcourt le monde pour prôner les réductions d’émissions de CO2 (par avion ce qui en soit déjà contribue à émettre énormément de CO2 ndlt), et possède une grande villa qui consomme 20 fois plus d’énergie que la maison d’un américain moyen.
En Février 2007, le Tennessee Center for Policy Research http://abclocal.go.com/ktrk/story?section=...&id=5072659 a révélé que les factures de gaz et d’électricité de la résidence de 20 pièces avec piscine de l’ancien vice président avait dévoré prés de 221 000KWh en 2006 plus de 20 fois la consommation moyenne nationale de 10 656 KWh. Gore n’a pas renié ces chiffres.
« Si une autre personne avait une factures de 30 000$ par an en consommation de tels services, cela ne me dérangerais pas » a dit le président du Center, Drew Johnson âgé de 27ans. « Mais, il dit aux autres comment vivre et il ne suit pas ses propres règles ».
Les clips vidéos ci-dessous ( voir l’article en anglais) extrait du nouveau documentaire d’ Alex Jones « Fall of the Republic » montre comment Al Gore sert de tête d’affiche pour le projet de taxe carbone mondiale et sur celui du commerce de CO2, conçu pour ruiner les Etats Unis et faire baisser drastiquement le niveau de vie des Américains, en introduisant des niveaux cauchemardesques de règlementation et de bureaucratie au quotidien. (Pour obtenir la vidéo entière voir l’article en anglais)
Paul Joseph Watsen 03/11/09 www.prisonplanet.com
Article en anglais
Gore admet que le CO2 n’est pas la cause principale du réchauffement mondial
Gore n’a pas abandonné son mantra environnemental comme quoi l’homme est à l’origine du changement climatique, mais reconnaît néanmoins que le CO2 ne compte que pour 40% selon une nouvelle étude. Gore a reconnu dans le magazine Newsweek que les conclusions de cette étude pourraient compliquer les efforts faits pour imposer la taxe carbone.
Comme l’a rapporté Andrew Bolt dans le quotidien Australian Herald Sun, ses zig zag «suggère non seulement que Gore avait tort d’affirmer que scientifiquement c’était « décidé », mais que les vastes programmes onéreux pour « stopper » le réchauffement en réduisant drastiquement les émissions de CO2 seront efficaces pour seulement moins de la moitié de ce qui a été avancé ».
« Des années durant j’ai fait partie de ceux qui se concentraient principalement sur le CO2 et je pense que cela reste justifié » a dit Gore à Newsweek. « Mais un plan raisonnable pour résoudre la crise climatique doit élargir le champ des causalités pour inclure des stratégies pour tout ce qui provoque des effets de serre comme ce qui a été identifié dans l’étude de la Nasa. »
Gore accuse maintenant le carbone noir (la suie), le méthane, pour la majeure partie du réchauffement mondial, ouvrant la porte à une taxation sur le bétail, la viande, une taxe sur le lait, et ainsi de suite. Gore ne manque pas d’idées pour tirer un maximum de profits de ce type de taxe.
De plus, ne pouvant compter sur une justification 100% scientifique , surtout face à un scepticisme grandissant venant de certains experts de la communauté scientifique, Gore a désormais introduit une dimension religieuse au réchauffement climatique considérant que la dimension rationnelle n’était plus désormais suffisante et qu’il fallait aussi faire appel à la dimension spirituelle des individus.
« J’ai initié un programme de base chrétien de formation, j’en ai un musulman, et un juif à venir, de même qu’un programme hindou. J’ai formé 200 hommes de culte chrétiens et des dirigeants religieux ici à Nashville avec une version de diapos faisant référence à des écritures saintes. C’est probablement ma version favorite mais je ne l’utilise pas très souvent car cela pourrait passer pour du prosélytisme » a dit Gore à Newsweek.
Le New York Times a levé le voile sur la façon dont Al Gore est sur le point d’encaisser des milliards de dollars si la proposition de taxe carbone dont il fait la promotion est votée aux Etats Unis, tout en documentant comment il a déjà rempli ses poches sur le dos de la peur exagérée répandue sur le réchauffement mondial.
Comme on pouvait s’y attendre, l’article du NYT blanchit largement Al Gore adoptant pour le défendre une attitude apologétique.
Cependant, John M. Broder du NYTimes (http://www.nytimes.com/2009/11/03/business/energy-environment/03gore.html?_r=1 ) révèle effectivement comment l’une des sociétés dans lesquelles Al Gore a investi, Silver Spring Networks, a récemment bénéficié d’un contrat d’un montant de 560 millions de $ du département de l’énergie pour installer des « compteurs malins » chez les particuliers (certains esprits critiques pensent que c’est pour réguler) pour mesurer l’utilisation de l’énergie.
« Kleiner Perkins et ses partenaires dont Mr Gore, pourraient dans les années à venir récupérer leurs investissements de multiples fois, » déclare l’article, mettant l’accent sur le fait qu’Al Gore est «en bonne position pour profiter de la révolution verte, si et quand elle arrivera ».
« Des critiques, émises principalement par la droite politique et par des sceptiques sur le réchauffement climatique, ont dit que Mr Gore est en passe de devenir le premier «Carbone Milliardaire», profitant de la politique du gouvernement qu’il soutient et qui va diriger des milliards de dollars vers des partenariats d’affaires dans lesquels il a investi « écrit Broder.
Depuis qu’il a quitté ses fonctions politiques, la fortune nette d’Al Gore est montée en flêche en lien avec sa campagne sur les problèmes de réchauffement climatique et les dividendes financiers que cela induit. Les actions de Gore se chiffraient à 2 millions de $ en 2001, et bien qu’il ait refusé de donner un chiffre sur sa fortune actuelle, il a fait récemment un seul investissement de 35 millions de $ dans le groupe Capricorn Investment, une fond privé d’investissement, ce qui montre avec quelle rapidité Gore s’est enrichi en se ralliant à la propagande sur le réchauffement climatique.
L’article du Times note comment Gore «détient une part dans le marche mondial de crédit carbone dominant» comme nous l’avons rapporté en Mars dernier, de même que Barack Obama avant qu’il ne devienne Président, celui-ci aidant à financer les profiteurs du programme de taxe carbone qu’il essaie de faire voter.
Le Chicago Climate Exchange (CCX) a des liens directs à la fois avec Al Gore et Maurice Strong, deux personnalités intimement impliquées dans un mouvement ancien qui a utilisé la théorie du réchauffement mondial causé par l’homme comme mécanisme pour engranger des profits et se construire une notoriété publique. La société d’investissement de Gore, Generation Investment Management, qui vend des possibilités de compensation carbone, est le plus grand actionnaire du CCX.
Maurice Strong, cité régulièrement comme le père fondateur du mouvement environnemental moderne, siège au conseil d’administration du CCX. Strong a été l’un des principaux initiateurs du Sommet de la Terre au début des années 90, où la théorie du réchauffement mondial causé par le CO2 produit par l’activité humaine a été mise en avant avec insistance.
Les deux, Strong et Gore, sont issus de la clique du Club de Rome, qui dans leur rapport de 1991 «La Première Révolution Mondiale» mentionnait ouvertement comment ils planifiaient de mettre en place leur agenda d’exploitation de ce canular.
« En cherchant un nouvel ennemi qui nous unissait, nous avons eu l’idée de la pollution, la menace de réchauffement mondial, les pénuries d’eau, la famine, toute idée du même genre conviendrait. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et c’est seulement par le biais de changement d’attitudes et de comportements qu’on peut les vaincre. Alors, l’ennemi réel, c’est l’humanité elle-même, » ont-ils écrit. (http://kali-yuga.org/?p=847)
Pour sa défense contre les accusations qu’il colporte la peur du réchauffement mondial pour s’enrichir honteusement, ce qui est fidèlement rapporté dans l’article du NYT qui le blanchit, Gore dit qu’il place simplement son argent en fonction de ce qu’il dit.
Cependant, l’insistance de Gore sur le fait qu’il agit selon ses dires et ne parle pas simplement sans agir, ne semble pas concerner sa vie privée en manière de protection des sources d’énergie et d’émissions de CO2. Gore parcourt le monde pour prôner les réductions d’émissions de CO2 (par avion ce qui en soit déjà contribue à émettre énormément de CO2 ndlt), et possède une grande villa qui consomme 20 fois plus d’énergie que la maison d’un américain moyen.
En Février 2007, le Tennessee Center for Policy Research http://abclocal.go.com/ktrk/story?section=...&id=5072659 a révélé que les factures de gaz et d’électricité de la résidence de 20 pièces avec piscine de l’ancien vice président avait dévoré prés de 221 000KWh en 2006 plus de 20 fois la consommation moyenne nationale de 10 656 KWh. Gore n’a pas renié ces chiffres.
« Si une autre personne avait une factures de 30 000$ par an en consommation de tels services, cela ne me dérangerais pas » a dit le président du Center, Drew Johnson âgé de 27ans. « Mais, il dit aux autres comment vivre et il ne suit pas ses propres règles ».
Les clips vidéos ci-dessous ( voir l’article en anglais) extrait du nouveau documentaire d’ Alex Jones « Fall of the Republic » montre comment Al Gore sert de tête d’affiche pour le projet de taxe carbone mondiale et sur celui du commerce de CO2, conçu pour ruiner les Etats Unis et faire baisser drastiquement le niveau de vie des Américains, en introduisant des niveaux cauchemardesques de règlementation et de bureaucratie au quotidien. (Pour obtenir la vidéo entière voir l’article en anglais)
Paul Joseph Watsen 03/11/09 www.prisonplanet.com
Article en anglais
Gore admet que le CO2 n’est pas la cause principale du réchauffement mondial
Gore n’a pas abandonné son mantra environnemental comme quoi l’homme est à l’origine du changement climatique, mais reconnaît néanmoins que le CO2 ne compte que pour 40% selon une nouvelle étude. Gore a reconnu dans le magazine Newsweek que les conclusions de cette étude pourraient compliquer les efforts faits pour imposer la taxe carbone.
Comme l’a rapporté Andrew Bolt dans le quotidien Australian Herald Sun, ses zig zag «suggère non seulement que Gore avait tort d’affirmer que scientifiquement c’était « décidé », mais que les vastes programmes onéreux pour « stopper » le réchauffement en réduisant drastiquement les émissions de CO2 seront efficaces pour seulement moins de la moitié de ce qui a été avancé ».
« Des années durant j’ai fait partie de ceux qui se concentraient principalement sur le CO2 et je pense que cela reste justifié » a dit Gore à Newsweek. « Mais un plan raisonnable pour résoudre la crise climatique doit élargir le champ des causalités pour inclure des stratégies pour tout ce qui provoque des effets de serre comme ce qui a été identifié dans l’étude de la Nasa. »
Gore accuse maintenant le carbone noir (la suie), le méthane, pour la majeure partie du réchauffement mondial, ouvrant la porte à une taxation sur le bétail, la viande, une taxe sur le lait, et ainsi de suite. Gore ne manque pas d’idées pour tirer un maximum de profits de ce type de taxe.
De plus, ne pouvant compter sur une justification 100% scientifique , surtout face à un scepticisme grandissant venant de certains experts de la communauté scientifique, Gore a désormais introduit une dimension religieuse au réchauffement climatique considérant que la dimension rationnelle n’était plus désormais suffisante et qu’il fallait aussi faire appel à la dimension spirituelle des individus.
« J’ai initié un programme de base chrétien de formation, j’en ai un musulman, et un juif à venir, de même qu’un programme hindou. J’ai formé 200 hommes de culte chrétiens et des dirigeants religieux ici à Nashville avec une version de diapos faisant référence à des écritures saintes. C’est probablement ma version favorite mais je ne l’utilise pas très souvent car cela pourrait passer pour du prosélytisme » a dit Gore à Newsweek.
Mireille Delamarre traduction synthèse http://www.planetenonviolence.org