
Autres articles
-
Une bombe de 246.000 milliards de dollars posée sous l'économie mondiale
-
Le pacte faustien des banques centrales
-
Pourquoi l’annulation de la dette allemande de 1953 n’est pas reproductible pour la Grèce et les Pays en développement
-
Une nouvelle crise économique a-t-elle commencé?
-
La Bulle et la Dette [ACTE 1, 2 et 3] - Faut VRAIMENT que vous compreniez
« J’ai donné l’ordre de ne pas payer les intérêts. Le pays est donc en défaut sur sa dette extérieure. Nous savons qui nous affrontons, de véritables monstres qui n’hésiteront pas à tenter d’écraser le pays, mais je ne pouvais pas permettre qu’on continue à payer une dette immorale et illégitime. En tant que président de la République, j’en assume toute la responsabilité. » Qui a tenu cette déclaration le 12 décembre dernier ? Rafael Correa, président socialiste de l’Equateur. Preuve qu’il existe deux attitudes possibles : se coucher devant les financiers ou prendre le parti du peuple. Ce ne sont pas nos larbins du capital de l’Union européenne, les Merkel-Sarkozy-Papandreou-Zapatero et les autres, qui seraient capables de ça : l’histoire de la dette, finalement, se résume à en avoir ou pas !
Plume de presse
Plume de presse