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Selon des témoins et des sources de police, des dizaines de véhicules et d’entreprises ont été endommagées après que les forces de police aient violemment réprimé des centaines de jeunes Arabes qui tentaient d’aider la famille arabe assiégée.
Des sources arabes à Acre ont déclaré que des hooligans juifs avaient attaqué et "tenté de lyncher" la famille d’Ahmed Sha'aban qui vit dans le quartier juif de Porla dans la banlieue Est de la ville.
"Des centaines d’extrémistes voulaient s'assurer que nous, les Musulmans, respections le Yom Kippour et que nous ne vivions pas comme d'habitude. La prochaine fois, ils voudront que nous nous convertissions au judaïsme, ou que nous partions», a déclaré Jamal Adham, qui a été attaqué et légèrement blessé par les extrémistes.
Selon Ahmed Odeh, un membre du conseil municipal d’Acre, les émeutes et les actes de vandalisme qui ont suivi ont été déclenchés par les efforts déployés par les fanatiques juifs afin d’imposer un couvre-feu total aux habitants non-juifs de la ville.
Odeh a déclaré qu'il avait reçu des assurances de la part de la police que la ville resterait ouverte et que les non-Juifs seraient autorisés à circuler librement pendant les fêtes du Yom Kippour (le Jour du Grand Pardon).
Odeh a ajouté que plus tard il a été surpris de découvrir que toutes les entrées et les sorties de la ville avaient été hermétiquement fermé, apparemment par une société de sécurité privée dépendant du conseil municipal de la ville.
"Même l'accès à la vieille ville, où vivent la plupart des Arabes, avait été bloqué".
Le dirigeant arabe israélien a fait remarquer que, lorsque les Arabes dans le vieux quartier d’Acre ont appris que des extrémistes juifs assiégeaient la famille Sha'aban, des dizaines ou des centaines de jeunes arabes sont partis en direction de la maison pour essayer de protéger la famille d'un éventuel lynchage .
Dans l'intervalle, un millier de Juifs arrivaient devant la maison de la famille Sha'aban, avec des dizaines de policiers.
Certaines personnes parmi la foule immense auraient crié "Mavet le Arabim" ou "Mort aux Arabes» et «Arabes dehors».
Les jeunes Arabes du vieux quartier de la ville n’ont pas pu accéder à la maison assiégée car des renforts de la police les empêchaient d’approcher.
De nombreux manifestants arabes ont été blessés par les coups de la police ou suite à l'inhalation de gaz lacrymogènes.
Réagissant aux brutalités policières, certains jeunes Arabes s’en seraient pris à des propriétés juives, dont des voitures et des commerces.
Toutefois, aucun acte d'incendie volontaire n’a été signalé.
"Malheureusement, certains types indisciplinés se sont livrés à des actes de vandalisme. Je rejette totalement ce comportement qui est incompatible avec nos valeurs et ne servent pas la cause de la coexistence dans la ville. "
Odeh a déclaré que le "discours raciste anti-arabe» au sein de la société juive israélienne encourage les extrémistes à tenter d'imposer leur volonté sur la société.
"Il est temps que ces extrémistes comprennent que cette terre est habitée par des Juifs et des non-Juifs et que les non-Juifs doivent respecter la loi."
Le journal Ha'arez cite le chef de la police d’Acre, le surintendant en chef Avi Edri, disant que l’"altercation" était au début un incident isolé, mais qu’elle s’est aggravée en raison de la participation de bandes juives et arabes.
"C'est un incident très grave que la ville d'Acre n’avait pas connu ces dernières années et nous devons traiter tous les émeutiers et ceux qui veulent faire respecter la loi par eux-mêmes avec une poigne de fer», dit Edri.
Abbas Zkoor, un membre arabe de la Knesset israélienne a exhorté la police de protéger les citoyens arabes israéliens des fanatiques juifs, en particulier pendant les fêtes juives.
Zkoor aurait accusé les jeunes juifs de se rassembler aux entrées de la ville pendant Yom Kippour et de jeter des pierres sur les voitures arabes qui circulent, mettant en danger la vie des passagers.
"Malgré les nombreuses plaintes déposées dans les commissariats de police, les agents n'ont pas été envoyés pour disperser les rassemblements racistes", a dit Zkoor.
Il a également demandé au rabbin Shlomo Amar de condamner un tel comportement, qui "contrevient sans aucun doute aux principes de base de la religion juive."
Des sources arabes à Acre ont déclaré que des hooligans juifs avaient attaqué et "tenté de lyncher" la famille d’Ahmed Sha'aban qui vit dans le quartier juif de Porla dans la banlieue Est de la ville.
"Des centaines d’extrémistes voulaient s'assurer que nous, les Musulmans, respections le Yom Kippour et que nous ne vivions pas comme d'habitude. La prochaine fois, ils voudront que nous nous convertissions au judaïsme, ou que nous partions», a déclaré Jamal Adham, qui a été attaqué et légèrement blessé par les extrémistes.
Selon Ahmed Odeh, un membre du conseil municipal d’Acre, les émeutes et les actes de vandalisme qui ont suivi ont été déclenchés par les efforts déployés par les fanatiques juifs afin d’imposer un couvre-feu total aux habitants non-juifs de la ville.
Odeh a déclaré qu'il avait reçu des assurances de la part de la police que la ville resterait ouverte et que les non-Juifs seraient autorisés à circuler librement pendant les fêtes du Yom Kippour (le Jour du Grand Pardon).
Odeh a ajouté que plus tard il a été surpris de découvrir que toutes les entrées et les sorties de la ville avaient été hermétiquement fermé, apparemment par une société de sécurité privée dépendant du conseil municipal de la ville.
"Même l'accès à la vieille ville, où vivent la plupart des Arabes, avait été bloqué".
Le dirigeant arabe israélien a fait remarquer que, lorsque les Arabes dans le vieux quartier d’Acre ont appris que des extrémistes juifs assiégeaient la famille Sha'aban, des dizaines ou des centaines de jeunes arabes sont partis en direction de la maison pour essayer de protéger la famille d'un éventuel lynchage .
Dans l'intervalle, un millier de Juifs arrivaient devant la maison de la famille Sha'aban, avec des dizaines de policiers.
Certaines personnes parmi la foule immense auraient crié "Mavet le Arabim" ou "Mort aux Arabes» et «Arabes dehors».
Les jeunes Arabes du vieux quartier de la ville n’ont pas pu accéder à la maison assiégée car des renforts de la police les empêchaient d’approcher.
De nombreux manifestants arabes ont été blessés par les coups de la police ou suite à l'inhalation de gaz lacrymogènes.
Réagissant aux brutalités policières, certains jeunes Arabes s’en seraient pris à des propriétés juives, dont des voitures et des commerces.
Toutefois, aucun acte d'incendie volontaire n’a été signalé.
"Malheureusement, certains types indisciplinés se sont livrés à des actes de vandalisme. Je rejette totalement ce comportement qui est incompatible avec nos valeurs et ne servent pas la cause de la coexistence dans la ville. "
Odeh a déclaré que le "discours raciste anti-arabe» au sein de la société juive israélienne encourage les extrémistes à tenter d'imposer leur volonté sur la société.
"Il est temps que ces extrémistes comprennent que cette terre est habitée par des Juifs et des non-Juifs et que les non-Juifs doivent respecter la loi."
Le journal Ha'arez cite le chef de la police d’Acre, le surintendant en chef Avi Edri, disant que l’"altercation" était au début un incident isolé, mais qu’elle s’est aggravée en raison de la participation de bandes juives et arabes.
"C'est un incident très grave que la ville d'Acre n’avait pas connu ces dernières années et nous devons traiter tous les émeutiers et ceux qui veulent faire respecter la loi par eux-mêmes avec une poigne de fer», dit Edri.
Abbas Zkoor, un membre arabe de la Knesset israélienne a exhorté la police de protéger les citoyens arabes israéliens des fanatiques juifs, en particulier pendant les fêtes juives.
Zkoor aurait accusé les jeunes juifs de se rassembler aux entrées de la ville pendant Yom Kippour et de jeter des pierres sur les voitures arabes qui circulent, mettant en danger la vie des passagers.
"Malgré les nombreuses plaintes déposées dans les commissariats de police, les agents n'ont pas été envoyés pour disperser les rassemblements racistes", a dit Zkoor.
Il a également demandé au rabbin Shlomo Amar de condamner un tel comportement, qui "contrevient sans aucun doute aux principes de base de la religion juive."