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Calvi
Il y va sans dire que la tendance, la mode, intellectuelle, aujourd’hui plus que n’importe quel moment de l’ Histoire des musulmans et de l’Islam en France, est de plaire aux nouvelles exigences pro-américaines. Se faire accepter et admettre par une seule porte : Renier sa confession musulmane et lui déclarer la guerre.
La politique, politicienne, de la France, le démontre à chaque occasion de débat. A la télévision, aux salons restreints aux quelques arabes qui se sont dédouanés de leur dignité et de leur origine ; aux noirs, aussi, de service qui font la Une des alibis de l’intégration, de la réussite dans une société, néo-colonisatrice, redevable à ces gens qui ont fait et qui font toujours la France du quotidien.
Lors de cette soirée, donc, proposée par Yves Calvi et sont rédacteur en chef, Gilles Bornstein, ont été réunis plus de 1,2 million de téléspectateurs, selon un sondage d’Scoop. Peut-on critiquer l’Islam ? Pour le clin d’œil de l’Histoire de la France, je formule, peut-on critiquer le nouvel ordre des nouveaux chevaliers du Temple : Les musulmans.
Ca fait marrer, vraiment !
Une aubaine de propagande politique, une compagne électoraliste chevauchée par le seul dada du volet sécuritaire. Un sujet qui plaît aux Français plus que la Marseillaise, elle-même. Vue l’audience acquise, ce jour là, le mur, qui sépare la souche aux débarqués de la première à la dernière génération, a vraiment posé ces fondations.
Dans une France qui foule aux pas des américains –après la défaite chiraquienne de la guerre du Golf-, le « singé » politique est à l’ordre du jour. L’Amérique, qui vient de légiférer (17 octobre dernier) une loi sur la détention secrète - par la CIA- des musulmans suspects, trouve sont écho sur le plus « Buchiste » de France : Mr Sarkozy. Il s’en inspire pour proposer à son tour de juger les délinquants des banlieues, entre autres les auteurs des hostilités contre les keufs, directement aux assises. On rappelle que la loi américaine a été adoptée en plein période électorale aussi. La France de droite s’en inspire et mange de cette baraka.
Et puis, la France des délinquants est la France d’en bas des banlieues ; la France des banlieues est la France des générations des fils d’immigrés… la France des musulmans, en somme. Pour cela, peu importe les libertés civiles. Ce ne sont que les nouveaux indigènes de la France des temps présents. On s’en fout même de leur minima social, de leur droit et soif à l’Egalité et de la Fraternité, ces panneaux officieux et officiels sur les mairies de l’Hexagone, seulement.
Evident que de dire que la nouvelle forme du racisme est ce genre de torchon, dénué de toute logique intellectuelle, que Sir Redekker –jusqu’ici inconnu dans l’effectif des philosophes- publie dans un journal qui compte, parmi ses chroniqueurs, un nombre importants d’indociles à la religion musulmane. Cela importe peu, car l’Islam a toujours survécu à ses sornettes ! Ce qui est grave en soi, c’est qu’au nom de la laïcité, on assiste, dans le pays des libertés et des droits de l’Homme, à cette nouvelle génération, manipulée par un certain lobbying, de racistes.
Ce qui importe, ce sont ces artistes, telle la marocaine Rachida Khalil, manipulés à des fins commerciaux.
Ils sont, sans doute, les premiers à réfléchir le mur entre les musulmans et les non musulmans en France.
C’est pour quand ?
La politique, politicienne, de la France, le démontre à chaque occasion de débat. A la télévision, aux salons restreints aux quelques arabes qui se sont dédouanés de leur dignité et de leur origine ; aux noirs, aussi, de service qui font la Une des alibis de l’intégration, de la réussite dans une société, néo-colonisatrice, redevable à ces gens qui ont fait et qui font toujours la France du quotidien.
Lors de cette soirée, donc, proposée par Yves Calvi et sont rédacteur en chef, Gilles Bornstein, ont été réunis plus de 1,2 million de téléspectateurs, selon un sondage d’Scoop. Peut-on critiquer l’Islam ? Pour le clin d’œil de l’Histoire de la France, je formule, peut-on critiquer le nouvel ordre des nouveaux chevaliers du Temple : Les musulmans.
Ca fait marrer, vraiment !
Une aubaine de propagande politique, une compagne électoraliste chevauchée par le seul dada du volet sécuritaire. Un sujet qui plaît aux Français plus que la Marseillaise, elle-même. Vue l’audience acquise, ce jour là, le mur, qui sépare la souche aux débarqués de la première à la dernière génération, a vraiment posé ces fondations.
Dans une France qui foule aux pas des américains –après la défaite chiraquienne de la guerre du Golf-, le « singé » politique est à l’ordre du jour. L’Amérique, qui vient de légiférer (17 octobre dernier) une loi sur la détention secrète - par la CIA- des musulmans suspects, trouve sont écho sur le plus « Buchiste » de France : Mr Sarkozy. Il s’en inspire pour proposer à son tour de juger les délinquants des banlieues, entre autres les auteurs des hostilités contre les keufs, directement aux assises. On rappelle que la loi américaine a été adoptée en plein période électorale aussi. La France de droite s’en inspire et mange de cette baraka.
Et puis, la France des délinquants est la France d’en bas des banlieues ; la France des banlieues est la France des générations des fils d’immigrés… la France des musulmans, en somme. Pour cela, peu importe les libertés civiles. Ce ne sont que les nouveaux indigènes de la France des temps présents. On s’en fout même de leur minima social, de leur droit et soif à l’Egalité et de la Fraternité, ces panneaux officieux et officiels sur les mairies de l’Hexagone, seulement.
Evident que de dire que la nouvelle forme du racisme est ce genre de torchon, dénué de toute logique intellectuelle, que Sir Redekker –jusqu’ici inconnu dans l’effectif des philosophes- publie dans un journal qui compte, parmi ses chroniqueurs, un nombre importants d’indociles à la religion musulmane. Cela importe peu, car l’Islam a toujours survécu à ses sornettes ! Ce qui est grave en soi, c’est qu’au nom de la laïcité, on assiste, dans le pays des libertés et des droits de l’Homme, à cette nouvelle génération, manipulée par un certain lobbying, de racistes.
Ce qui importe, ce sont ces artistes, telle la marocaine Rachida Khalil, manipulés à des fins commerciaux.
Ils sont, sans doute, les premiers à réfléchir le mur entre les musulmans et les non musulmans en France.
C’est pour quand ?